Archives mensuelles : juillet 2019

[Box Office France] Aucun concurrent n’arrive à la patte du Roi Lion

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Cette semaine du 24 au 30 Juillet, nous pouvions découvrir sur grand écran Crawl d’Alexandre Aja, The Operative de Yuval Adler, La Source de Rodolphe Lauga, Give Me Liberty de Kirill Mikhanovsky ainsi que Wonderland, Le Royaume Sans Pluie de Keiichi Hara. Sur ces cinq nouveautés, une ou plusieurs sont-elles arrivées sur le podium ? Analysons dès à présent les chiffres du box office !

Mufasa et Simba ne laissent aucune chance à la concurrence, Le Roi Lion s’imposant pour la seconde fois sur la première marche du podium.

Le film de Jon Favreau ne perd que 27% de sa fréquentation et réunit encore 2 390 595 spectateurs dans les salles obscures, portant son total à 5 643 491 entrées en quinze jours.

À cette vitesse, cette nouvelle version du Roi Lion devrait rapidement devenir le film le plus populaire de l’année en dépassant les 6 801 931 entrées d’Avengers : Endgame. La vraie question est de savoir si les 10 135 871 spectateurs du dessin-animé original seront égalés. Suspense pour le moment.

Les semaines se suivent et se ressemblent pour Toy Story 4 qui reste pour la quatrième fois sur la deuxième marche.

Le film d’animation de Josh Cooley se paye même le luxe d’augmenter sa fréquentation de 8% et ajoute 409 929 entrées à son box office qui atteint désormais 3 828 771 spectateurs. La barre des 4 millions sera enfin franchie d’ici les prochains jours.

Grâce à cet excellent maintien, ce quatrième volet peut espérer se positionner entre Toy Story 3 (4 362 701 spectateurs) et Toy Story 2 (4 529 693 entrées).

Peter Parker reste cramponné à sa troisième place qu’il ne quitte pas cette semaine avec Spider-Man : Far From Home.

Le long-métrage de Jon Watts voit sa fréquentation diminuer de 10% et attire cette fois 332 999 spectateurs, ce qui lui permet de grimper à 2 704 673 entrées.

Volant déjà à un niveau supérieur à Homecoming, la prochaine étape pour Far From Home est maintenant de dépasser les 3 millions de spectateurs.


Concernant les nouveautés, Crawl arrive en quatrième position avec 225 438 entrées, The Operative démarre sur la huitième marche avec 95 246 spectateurs. La Source et Wonderland, Le Royaume Sans Pluie se suivent à la treizième et quatorzième place réunissant respectivement 46 459 et 40 431 entrées tandis que Give Me Liberty se contente de la dix-septième position avec 22 592 spectateurs.

[Bande annonce] The Irishman, la nouvelle fresque criminelle de Martin Scorsese

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Trois ans après Silence, Martin Scorsese renoue avec un genre qu’il affectionne, la fresque criminelle, avec The Irishman, qui marque par la même occasion sa nouvelle collaboration avec Robert De Niro et Joe Pesci. Basé sur une histoire vraie et adapté du livre J’ai tué Jimmy Hoffa de Charles Brandt, le film, qui comprend également au casting Al Pacino et Anna Paquin nous offre une première bande annonce intrigante :

En projet depuis plus de dix ans, il a fallu attendre l’investissement de Netflix pour que The Irishman devienne réalité en 2017. Si le tournage a été rallongé et le budget dépassé, c’est un soulagement de découvrir finalement les premières images du film.

Prévu pour cet automne sur la plateforme de streaming, le long-métrage nous relate la vie de Frank Sheeran, un syndicaliste devenu tueur à gages. Surnommé The Irishman (L’Irlandais) ce dernier est devenu une figure de la pègre dans les années 60/70 et a longtemps été soupçonné d’avoir assassiné Jimmy Hoffa, le dirigeant du syndicat des conducteurs routiers américains, qui a disparu en 1975.

Cette sombre histoire vraie est donc au coeur de The Irishman, ce que nous confirme la bande annonce, nous préparant au face à face entre les deux hommes et leurs liens respectifs avec la mafia. Ce sont Robert De Niro et Al Pacino qui incarnent Sheeran et Hoffa et grâce au numérique, nous aurons le droit à des versions rajeunies des deux acteurs ainsi que Joe Pesci, qui signe son grand retour après avoir été absent des écrans depuis neuf ans.

Scorsese, De Niro, Pesci, Pacino, mafia, cela sonne comme un cocktail savoureux et on ne cache pas notre envie de découvrir le film, en espérant avoir rapidement une date précise de sortie.

 

[Critique] Le Roi Lion, revenir dans la lumière

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Vingt-cinq ans après le film d’animation éponyme de Roger Allers et Rob Minkoff, Le Roi Lion a le droit à une relecture de la part de Disney et de Jon Favreau, qui après avoir mis en scène l’adaptation live du Livre De La Jungle nous concocte cette fois une version entièrement numérique des aventures du jeune Simba au sein de la Terre des Lions…

Après Dumbo et Aladdin, Disney poursuit cette année sa frénésie concernant les adaptations live de ses grands classiques avec Le Roi Lion. Contrairement à ses deux prédécesseurs, point d’acteurs présents en chair et en os, nous avons affaire ici à un film conçu entièrement par ordinateur.

C’est sur ce point précis que le long-métrage de Jon Favreau gagne des points car, avouons-le, le rendu 100% numérique est bluffant de réalisme et l’environnement créé est de toute beauté. Nous repartons à la découverte d’une Terre des Lions et d’une savane plus vraie que nature et le résultat est plus que convaincant.

Au niveau du scénario, le script écrit par Jeff Nathanson ne s’éloigne pas de celui imaginé par Irene Mecchi, Jonathan Roberts et Linda Woolverton pour le dessin-animé de 1994. Nous sommes donc en territoire connu dès l’introduction et les premières notes de L’Histoire De La Vie. Du baptême de Simba à son exil en passant à la mort de Mufasa, les grandes lignes de l’intrigue sont identiques et même si d’infimes changements sont à noter, elles ne modifient en rien l’ensemble et sont de l’ordre du détail.
Cette envie de coller au plus près de l’oeuvre de Roger Allers et Rob Minkoff est un parti-pris de Jon Favreau mais ce choix aura ses détracteurs comme ses défenseurs. N’est-ce pas un choix purement mercantile de la part de Disney de nous livrer une telle copie ? Une question tout à fait légitime. Surtout que si l’on fait la comparaison avec Dumbo, qui s’éloignait de son homologue avec la patte de Tim Burton et Aladdin, qui proposait quelques modifications, ce Roi Lion est plus que fidèle à son pendant animé.

D’ailleurs, le projet se voulant réaliste et proche du documentaire animalier ce que l’on constate facilement visuellement avec les décors naturels et le design de nos protagonistes, un contraste subsiste tout de même entre l’apparence de ces derniers et leurs paroles et il en ressort un manque d’expression criant, qui n’aide pas à instaurer l’émotion nécessaire lors de certaines séquences clés du métrage. Heureusement, la bande originale d’Hans Zimmer, remise au goût du jour fait toujours son effet et donne encore des frissons sur grand écran.

Avant d’évoquer le domaine musical, parlons du doublage et regrettons tout d’abord le casting français du dessin-animé, qui était plus mémorable avec une meilleure direction artistique et des comédiens qui s’en donnaient à coeur joie. Ici, si Jean Reno est encore de la partie dans la peau de Mufasa et que malgré les réserves Jamel Debbouze et Alban Ivanov ne s’en sortent pas si mal dans leur incarnation du duo iconique Timon et Pumbaa, leurs camarades n’arrivent pas à s’approprier leur personnage et l’exemple le plus frappant est Michel Lerousseau, qui gomme toutes les nuances de Scar, dont son sarcasme et sa perfidie, n’en faisant qu’un méchant lambda, contrairement à l’interprétation inspirée de Jean Piat, dommage.

Pour en revenir aux chansons, si malgré le doublage actuel celles-ci restent divertissantes, elles ne sont malheureusement pas valorisées à cause de la réalisation de Jon Favreau qui, lors de ces passages musicaux, préfère jouer la carte de la sobriété en matière de mise en scène. La folie de Je Voudrais Déjà Être Roi et de Hakuna Matata de même que l’énergie et la tension de Soyez-Prêtes sont au final invisibles à l’écran. Quitte à se vouloir photo-réaliste, peut-être que faire l’impasse sur les titres phares ou alors ne jouer que les parties instrumentales aurait été plus judicieux.
L’autre soucis avec ce parti-pris est qu’au niveau de la photographie, si la reconstitution de la savane est plus vraie que nature, les couleurs vives qui émaillaient son modèle sont ici effacées.

Avec cette nouvelle version du Roi Lion, Jon Favreau propose une adaptation fidèle et visuellement bluffante du film d’animation de Roger Allers et Rob Minkoff. Si retrouver la Terre des Lions et revoir cette galerie de personnages que l’on a connu il y a vingt-cinq ans est plaisante sur le moment, au final cette copie conforme n’apporte aucune plus-value à son homologue, n’arrivant pas à prodiguer le même flot d’émotions que ce dernier. 

[Critique] Yves, un frigo qui vous veut du bien

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Quatre ans après Gaz De France, Benoît Forgeard est de retour à la réalisation avec Yves, une comédie loufoque qui comprend au casting William Lebghil, Doria Tillier, Philippe Katerine et Alka Balbir, nous faisant suivre Jérém, un rappeur fauché qui va voir son quotidien bousculé par l’arrivée de son nouveau réfrigérateur doté d’une intelligence artificielle…

Avec Yves, Benoît Forgeard signe une comédie gentiment absurde, pêchant un peu sur la forme mais se révélant perspicace sur le fond.

Les nouvelles technologies et plus précisément l’intelligence artificielle sont au centre du scénario co-écrit par le réalisateur et Alain Layrac, qui se veut une satire de notre société de consommation et de notre dépendance à tous ces objets connectés.

Malgré ce sujet indéniablement pertinent, le long-métrage met du temps à trouver sa voie, la faute à une intrigue premièrement auto-centrée sur Jérem, un looser de première campé par un William Lebghil tout en flegme et en décontraction, un style qui réussit particulièrement à l’acteur. Si les errances du personnage, un apprenti rappeur à qui le succès ne sourit pas, nous permettent d’entrer dans le vif du sujet et de nous introduire à Yves, le fameux réfrigérateur intelligent ainsi qu’à Digital Cool, la start-up responsable de sa création, via sa représentante So, incarnée par Doria Tillier, nous devons patienter un bon moment avant de voir apparaître la satire au cœur de l’ouvrage, le scénario préférant se concentrer sur son aspect comédie romantique.

Lorsque Jérem, avec la précieuse aide de son ami robotique, voit les portes du succès s’ouvrir à lui, le film accélère finalement son rythme pour mieux critiquer nos agissements et ceux des grands groupes face à la technologie. Le long-métrage se montre enfin acerbe en montrant à quel point l’être humain peut être faible, avec la rapide ascension et la chute encore plus rapide de la carrière de notre rappeur en herbe, ce dernier se reposant avant tout sur Yves et son intelligence artificielle.
D’un autre côté, Benoît Forgeard pointe du doigt les dérives de notre société de consommation, où l’être humain voit ses libertés individuelles disparaître au profit de la propriété intellectuelle de ces sociétés de plus en plus puissantes. Sommes nous les parents de ce que l’on créé à partir de ces objets connectés ? Les machines peuvent-elles remplacer les hommes dans n’importe quel domaine ? Des questions que se pose le réalisateur et dont les réponses trouvées ne manquent pas de piquant, à l’image du concours Eurovision qui se veut le point d’orgue de cette satire.

Ces questionnements, qui pullulent lors de la deuxième partie du long-métrage améliorent sa qualité, car si le trait peut paraître forcé, nous ne sommes pas si loin de la vérité et les railleries sonnent juste. Mieux encore, quand les états-d’âmes de notre cher Yves entrent en jeu, l’intrigue prend une autre dimension. Malgré son côté si froid, notre appareil électro-ménager à un cerveau qui bouillonne et des sentiments qui l’envahissent. Entre Envie, amour et jalousie, Yves se montre au final plus humain que ses créateurs et ses relations avec Jérem ainsi que So alimentent le dernier quart du film.

Si ce dernier avait été privilégié par rapport à son homologue humain dès le départ, Yves aurait gagné en rythme et absurdité. Une présence plus importante de Philippe Katerine, toujours excellent, aurait également aidé à l’ensemble, son ton décalé étant un point positif, surtout dans une oeuvre telle que celle-ci mais il est malheureusement sous-exploité. Quant à la réalisation de Benoît Forgeard est trop consensuelle et sa caméra trop statique aurait gagné à être plus virevoltante, pour instaurer plus de folie. Sur ce point précis, il faut se pencher sur la bande originale et les paroles absurdes de ‘Carrément Rien À Branler’ ou encore ‘Mon Meilleur Ami Est Un Frigo’ que l’on doit à Forgeard aidé des compositeurs Mim et Tortoz.

Soufflant le chaud et le froid, Yves est une comédie satirique qui, malgré un très bon sujet nous alertant sur le consumérisme et les nouvelles technologies, perd trop de temps à trouver son rythme de croisière. Si les acteurs sont bons et que les objets connectés sont d’excellents partenaires de jeu, Yves manque finalement de mordant. Une expérience en demi-teinte mais une critique avisée sur notre société.

©Le Pacte

[Box Office US] Once Upon A Time…In Hollywood résiste face au Roi Lion

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Ce week-end du 26 au 28 Juin, le public américain pouvait découvrir le nouveau long-métrage de Quentin Tarantino, Once Upon A Time…In Hollywood, qui était la principale sortie proposée. Le film a t-il réussi à se faire une place sur le podium malgré la concurrence féroce représentée par Le Roi Lion ? Réponse maintenant !

Mufasa et Simba contemple la concurrence du haut de leur trône, Le Roi Lion occupant une nouvelle fois la première marche du podium.

La relecture du dessin animé mise en scène par Jon Favreau perd 60,6% de sa fréquentation mais ajoute tout de même 75,5M$ à son box office, qui culmine désormais à 350,7M$. D’ici quelques jours, le score réalisé par la version live du Livre De La Jungle (364M$), précédemment film de Favreau, sera dépassé.

En comptabilisant les chiffres amassés à l’international, Le Roi Lion voit ses recettes mondiales grimper à 962,6M$.

Le tandem Brad Pitt/Leonardo DiCaprio occupe quant à lui la deuxième marche avec Once Upon A Time…In Hollywood.

Le neuvième long-métrage de Quentin Tarantino débute avec 40,3M$ ce qui constitue le meilleur démarrage de sa carrière, faisant mieux que les 38M$obtenus par Inglourious Basterds lors de son premier week-end en 2009.

Aidé par un excellent bouche à oreille, Once Upon A Time…In Hollywood est bien parti pour devenir le film le plus rentable du réalisateur sur le sol américain et dépasser les 162,8M$ de Django Unchained. Affaire à suivre !

Peter Parker virevolte à une altitude de plus en plus basse, Spider-Man : Far From Home clôturant le podium ce week-end.

Le film de Jon Watts voit sa fréquentation baisser de 42,5% de sa fréquentation et en trois jours celui-ci récolte 12,2M$, portant son total à 344,4M$. Les 373,5M$ de Spider-Man 2 devrait être prochainement dépassés.

En cumulant les chiffres du box office international, Far From Home atteint le milliard de dollars de recettes (1 036 855 270$ précisément) ce qui lui permet de devenir l’opus le plus rentable de la franchise Spider-Man dans le monde.

[Bande annonce] Retour À Zombieland, de nouveaux ennuis mais pas de Twinkies

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Il y a près de dix ans, les mésaventures de Woody Harrelson, Jesse Eisenberg, Emma Stone et Abigail Breslin dans l’univers post-apocalyptique de Bienvenue À Zombieland avait fait rire le public et le film de Ruben Feischer avait eu son petit succès avec 102,3M$ de recettes mondiales pour un budget de 23,6M$. Depuis, une décennie s’est écoulée et la carrière du quatuor principal a bien évolué. Beaucoup avaient abandonné l’espoir de voir un jour une suite de leurs tribulations mais comme le dit l’adage, ne jamais dire jamais puisque cet automne sortira Retour À Zombieland, qui marque les retrouvailles de toute l’équipe !

Prévu pour le 6 Novembre sur nos écrans, ce nouveau volet va être l’occasion de voir ce que sont devenus Tallahassee, Columbus, Wichita et Little Rock, qui sont le coeur de Zombieland.

La première bande annonce du film se concentre justement sur la famille dysfonctionnelle que forme notre fine équipe. Même si les années ont passé, les railleries elles n’ont pas cessé, pour notre plus grand plaisir. D’ailleurs Retour À Zombieland va être l’occasion de voir le terrain de jeu de nos survivants s’agrandir et si les morts-vivants se font pour le moment discrets (à part pour se faire tuer), nul doute que ceux-ci ont dû évoluer et se multiplier après une décennie à errer sur la planète.

Si les zombies se cachent pour le moment, les premières images du long-métrage s’attellent à nous présenter de nouveaux protagonistes et Rosario Dawson, Luke Wilson, Avan Jogia ainsi que Thomas Middleditch se rajoutent à la fête, de quoi pimenter un peu plus cette suite. Entre massacres de morts-vivants, amourettes contrariées, rencontres fortuites et doppelgänger, notre joyeuse bande a du pain sur la planche !

[Bande annonce] Gemini Man : Will Smith face à lui-même

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Pour son retour à la réalisation, trois ans après Un Jour Dans La Vie De Billy Lynn, Ang Lee concrétise un projet qui était une arlésienne depuis plus de vingt ans à Hollywood, Gemini Man. Avec les outils numériques désormais à disposition des studios, le long-métrage, qui se centre sur un tueur à gages devant faire face à une version rajeunie de lui-même, peut prendre vie devant nos yeux et c’est Will Smith qui prête ses traits au double rôle-titre. Prévu pour le 2 Octobre au cinéma, le long-métrage s’offre une bande annonce finale explosive qui promet un affrontement tendu entre ces deux versions d’un seul et même homme :

Co-produit notamment par Jerry Bruckheimer, Gemini Man s’annonce comme le film d’action de la rentrée, comme le confirme ces nouvelles images, nous dévoilant plus en détails l’intrigue.

L’attraction principale de ce thriller futuriste est le traitement réservé à Will Smith, qui s’est fait rajeunir numériquement pour un résultat à la hauteur si l’on s’en fie aux séquences révélées dans cette bande annonce. Le duel qui va opposer Henry Brogan à son clone, de vingt-sept ans son cadet, ne va pas être de tout repos et Ang Lee semble s’amuser à profiter de la technologie qui lui est offerte, aussi bien au niveau de la caméra (le film a été tourné dans un format de 120 images/secondes, ce qu’il sera difficile d’observer dans les salles obscures, peu de salles étant équipées pour le diffuser tel quel) que des effets spéciaux, conçus par Weta Digital.

Face à lui-même, Will Smith sera tout de même épaulé par Mary Elizabeth Winstead et Benedict Wong qui camperont des alliés d’Henry Brogan, qui l’aideront à démêler le vrai du faux en ce qui concerne à la fois la mise à prix de sa tête par le personnage incarné par Clive Owen ainsi que son propre clonage. Plus que quelques mois à patienter avant de connaître tous les secrets de Gemini Man.

 

76ème Mostra de Venise : la sélection

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Du 28 Août au 7 Septembre, le cinéma sera une nouvelle fois à l’honneur avec la 75ème édition du Festival International Du Film De Venise dont la sélection officielle a été dévoilée en ce jour.

Cette année le Jury de la Compétition officielle sera présidée par la réalisatrice argentine Lucrecia Martel et ils auront fort à faire car le niveau semble élevé entre les nouveaux longs-métrages de Hirokazu Kore-eda (La Vérité, qui fait l’ouverture du festival), de James Gray (Ad Astra), de Steven Soderbergh (The Laundromat), de Roman Polanski (J’Accuse) et côté metteurs en scène français de Wasp Network d’Olivier Assayas ainsi que de Glorian Mundi de Robert Guédiguian. Notons également la présence de Joker de Todd Philips parmi les nommés.

Découvrez sans plus attendre l’intégralité de la sélection de la 76ème Mostra de Venise :

Compétition

La Vérité de Hirokazu Kore-eda – film d’ouverture
The Perfect Candidate de Haifaa Al-Mansour
About Endlessness de Roy Andersson
Wasp Network d’Olivier Assayas
Marriage Story de Noah Baumbach
Guest Of Honour d’Atom Egoyan
Ad Astra de James Gray
A Herdade de Tiago Guedes
Gloria Mundi de Robert Guédiguian
Waiting For The Barbarians de Ciro Guerra
Ema de Pablo Larraín
Saturday Fiction de Lou Ye
Martin Eden de Pietro Marcello
La mafia non è più quella di Una Volta de Franco Maresco
The Painted Bird de Václav Marhoul
Il sindaco del Rione Sanità de Mario Martone
Baby Teeth de Shannon Murphy
Joker de Todd Phillips
J’accuse de Roman Polanski
The Laundromat de Steven Soderbergh
No.7 Cherry Lane de Yonfan

Hors-compétition

Catégorie fiction :

The Burnt Orange Heresy de Giuseppe Capotondi – film de clôture
Seberg de Benedict Andrews
Vivere de Francesca Archibugi
Mosul de Matthew Michael Carnahan
Adults in the Room de Costa-Gavras
The King de David Michod
Tutto il mio folle amore de Gabriele Salvatores

Catégorie non-fiction :

Woman de Yann Arthus-Bertrand et Anastasia Mikova
Roger Waters: Us + Them de Roger Waters
I Diari di Angela – Noi Due Cineasti. Capitolo Secondo de Yervant Gianikian, Angela Ricci Lucchi
Citizen K d’Alex Gibney
Citizen Rosi deDidi Gnocchi, Carolina Rosi
The Kingmaker de Lauren Greenfield
State Funeral de Sergei Loznitsa
Collective d’Alexander Nanau
45 Seconds of Laughter de Tim Robbins
Il pianeta in mare de Daniele Segre

séances spéciales :

No One Left Behind de Guillermo Arriaga
Electric Swan de Konstantina Kotzamani
Irreversible – Inversion Intégrale de Gaspar Noé
ZeroZeroZero (épisodes 1 et 2) de Stefano Sollima
The New Pope (épisodes 2 et 7) de Paolo Sorrentino
Never Just a Dream: Stanley Kubrick And Eyes Wide Shut de Matt Wells
Eyes Wide Shut de Stanley Kubrick

Orizzonti

Pelican Blood de Katrin Gebbe
Zumiriki d’Oskar Alegria
Bik Eneich – Un Fils de Mehdi M. Barsaoui
Blanco en Blanco de Theo Court
Mes Jours de Gloire d’Antoine De Bary
Nevia de Nunzia De Stefano
Moffie d’Oliver Hermanus
Hava, Maryam, Ayesha de Sahara Karimi
Rialto de Peter Mackie Burns
The Criminal Man de Dmitry Mamuliya
Revenir de Jessica Palud
Giants Being Lonely de Great Patterson
Balloon de Pema Tseden
Verdict de Raymund Ribas Gutierrez
Just 6.5 de Saeed Roustaee
Shadow of Water de Sasidharan Sanal Kumar
Sole de Carlo Sironi
Madre de Rodrigo Sorogoyen
Atlantis de Valentyn Vasyanovych

[Box Office France] Le Roi Lion dévore tout sur son passage

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Cette semaine du 17 au 23 Juillet, nous pouvions voir dans les salles obscures Le Roi Lion de Jon Favreau mais également Persona Non Grata de Roschdy Zem, Le Coup Du Siècle de Chris Addison, Wild Rose de Tom Harper, Yuli de Icíar Bollaín, L’Oeuvre Sans Auteur (Partie 1 et 2) de Florian Henckel von Donnersmarck ainsi que Le Voyage De Marta de Neus Ballús. Sur ces sept nouveautés, découvrez celle qui est parvenue à se hisser sur le podium :

Simba et Mufasa font une entrée en fanfare sur le territoire français, Le Roi Lion arrivant loin devant ses adversaires sur la plus haute marche du podium.

Cette nouvelle version mise en scène par Jon Favreau a attiré 3 252 896 spectateurs dans les salles obscures en une semaine, soit le deuxième meilleur démarrage de l’année arrivant derrière les 3 426 471 entrées d’Avengers : Endgame.

Ce démarrage est supérieur à celui réalisé par son homologue animé qui avait réuni 1 312 942 spectateurs en sept jours. Les 10 135 871 entrées qu’il avait totalisé seront-ils dépassés pas cette relecture numérique ? Le suspense reste entier.

Malgré cette concurrence féroce, Woody résiste et reste pour la troisième semaine consécutive avec Toy Story 4.

Le film d’animation de Josh Cooley perd 37% de sa fréquentation et récolte encore 380 655 entrées, ce qui porte son total sur le sol français à 3 418 842 spectateurs.

Ce quatrième volet se rapproche doucement mais sûrement de la barre des 4 millions, qui avait été franchie par Toy Story 2 (4 529 693 entrées) ainsi que par Toy Story 3 (4 362 701 spectateurs) mais parviendra t-il à l’atteindre également ?

Peter Parker à quant à lui plus de mal à se maintenir face au Roi Lion, ce qui fait chuter Spider-Man : Far From Home de la première à la dernière marche du podium.

Le long-métrage de Jon Watts perd 41% de sa fréquentation et ajoute 370 847 spectateurs à son score qui atteint les 2 371 674 entrées en trois semaines.

Le total de Spider-Man : Homecoming (2 311 502 spectateurs) est désormais dépassé, une bonne nouvelle pour l’homme-araignée !


Concernant les autres nouveautés, Le Coup Du Siècle débute à la sixième place avec 120 378 entrées, Wild Rose à la onzième avec 47 862 spectateurs. De la treizième à la quinzième position nous retrouvons Yuli (31 143 entrées), Persona Non Grata (30 616 spectateurs) et L’Oeuvre Sans Auteur (22 172 entrées). En fin de classement se trouve Le Voyage De Marta qui attire 4 012 spectateurs.

[Concours] Gagnez vos places pour Diego Maradona d’Asif Kapadia

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Le 31 Juillet sort au cinéma le documentaire Diego Maradona mis en scène par Asif Kapadia (Amy, Senna). À cette occasion, SeriesDeFilms et Mars Films vous font gagner 5×2 places de cinéma pour découvrir le long-métrage sur grand écran.

Synopsis :

Le 5 juillet 1984, Diego Maradona est engagé par le club SSC Napoli pour un montant inédit qui établit un nouveau record du monde : pendant sept ans, le “gamin en or” accomplit des miracles. Il faut dire que le footballeur le plus mythique de la planète trouve vite ses marques dans une ville où l’on dit que même le diable a besoin de gardes du corps…
Si Maradona semble avoir la grâce sur le terrain, il a moins de chance dans sa vie personnelle. Et quand la magie s’est dissipée, il est presque devenu captif de la ville…

Diego Maradona est le récit déjanté et inoubliable d’un homme au talent exceptionnel, mêlant gloire, désespoir, trahison, corruption et rédemption.
Diego Maradona a été réalisé à partir de 500 heures d’images inédites issues des archives personnelles du footballeur.

Comment participer ?

Pour jouer, rien de plus simple, il suffit de répondre à la question posée et de laisser vos coordonnées.

Pour augmenter vos chances , vous pouvez suivre SeriesDeFilms sur Twitter et retweeter le concours ou/et aimer la page SeriesDeFilms sur Facebook et partager le post du concours ! Si vous le faites, n’oubliez pas de renseigner vos pseudos dans le questionnaire ci-dessous.

Le jeu-concours se termine le 31 Juillet, les gagnants seront avertis par mail et les lots seront ensuite envoyés chez vous.

Concours réservé à la France métropolitaine. Une seule participation par personne, par adresse e-mail et par foyer est autorisée.

Bonne chance à tous !

Concours terminé, merci à tous d’avoir participé !