Archives par étiquette : Bande annonce

[Cinéma] Ninja Turtles – Teenage Years, quand les Tortues Ninja s’offrent une nouvelle jeunesse

Publicités

Passé un diptyque explosif produit par l’expert en destruction massive qu’est Michael Bay, Leonardo, Michelangelo, Donatello et Raphaël – alias Les Tortues Ninja – s’apprêtent à vivre de nouvelles aventures pour le moins animées sur le grand écran, s’offrant par la même occasion une seconde jeunesse puisque nous allons une fois de plus retrouver nos héros dans cet âge ingrat qu’est l’adolescence – une période difficile, surtout quand on essaye de combattre le crime !

Bande annonce #1

Bande annonce #2

Cowabunga ! Depuis leurs premiers pas dans l’univers des comics, en 1974 (cela ne nous rajeunit pas), Les Tortues Ninja aura su se faire une place de choix dans le cœur du grand public, s’épanouissant sur tous les médias à sa disposition. Sachant que de la page à l’écran il n’y a qu’un pas, la création de Kevin Eastman et Peter Laird s’y est engouffré en un rien de temps afin de tirer profit à la fois de la télévision et du cinéma.

Avec pas moins de quatre séries et sept longs-métrages produits en près de quatre décennies, nos justiciers de l’ombre ont eu l’espace nécessaire pour marquer la pop culture et bercer plusieurs générations. Parmi les fans de nos reptiles experts en arts-martiaux, Seth Rogen, qui est ici à l’origine de ce nouveau projet, en tant que producteur aux côtés de son comparse Evan Goldberg.

Intitulé Ninja Turtles Teenage Years, cette version rajeunie des Tortues Ninja va revenir sur les débuts du quatuor dans la lutte contre le mal dans les sombres ruelles de New York. Mise en scène par Jeff Row (Gravity Falls, Désenchantée), le film d’animation bénéficiera d’une identité visuelle propre, à l’image des récents Spider-Man New Generation et Le Chat Potté 2 : La Dernière Quête. Un style cartoonesque qui s’allie à un humour à la cool, qui nous rappelle que Rogen et Goldberg sont à la baguette. Le potentiel est là, il n’y a plus qu’à patienter jusqu’au 9 août pour découvrir ce que nous réserve cet opus.

[Cinéma] Greta Gerwig et Margot Robbie s’aventurent au pays de Barbie

Publicités

Après s’être attelée à une relecture des Quatre Filles du Docteur March, Greta Gerwig poursuit sa carrière de réalisatrice avec un projet aux antipodes de son cinéma, à savoir l’adaptation sur grand écran des aventures de Barbie, la célèbre poupée égérie de la société Mattel depuis plus de soixante ans – qui aura su se faire une place de choix dans la pop culture. De quoi susciter la curiosité, d’autant plus lorsque l’on se rend compte que du beau monde s’est réuni devant et derrière la caméra pour ce long-métrage à première vue atypique.

Teaser

Bande annonce #1

Bande annonce #2

À l’instar de Hasbro, marque concurrente qui a su faire se diversifier en produisant des films basés sur leurs franchises telles que TransformersG.I. JoeMy Little Pony ou encore Battleship, Mattel aimerait elle aussi réussir à s’immiscer de manière pérenne dans l’univers du septième art.

Ce n’est pas faute d’avoir essayé par le passé, même si le résultat n’a pas été probant. Tout d’abord en 1987 avec la sortie du film Les Maîtres De L’Univers réalisé par Gary Goddard, qui était une adaptation live de la série animée éponyme – qui était elle-même basée sur la gamme de jouets de la firme. Vendu par les producteurs de la Cannon comme le Star Wars des années 80 et devant propulser la carrière de Dolph Lundgren, le film a été un échec critique et financier. Même constat pour Max Steel de Christopher L. Yost, sorti cette fois en 2016, qui en plus marquait le premier essai de Mattel Films, la division cinéma de la société fondée en 2013. De mauvaises expériences qui sont désormais de l’histoire ancienne, Mattel ayant totalement changé de stratégie, voulant redoubler d’effort pour se faire une réputation dans le milieu.

Quoi de mieux que l’emblème de la firme pour relancer la machine ? En projet depuis quelques temps, grâce à un accord trouvé avec Warner Bros, cette volonté d’ouvrir les portes d’Hollywood à Barbie a su se concrétiser et ce malgré quelques couacs niveau développement. Si Amy Schumer et Anne Hathaway avaient été tour à tour été annoncées au casting, c’est finalement Margot Robbie qui a été choisie pour incarner l’iconique blonde en chair et en os dans cette version grand nature, qu’elle produit également via Lucky Chap. Pour l’accompagner dans cette entreprise pour le moins risquée, plusieurs réalisateurs se sont succédés avant que Greta Gerwig n’occupe ce poste, s’impliquant en plus à l’écriture aux côtés de son compagnon Noah Baumbach (Marriage Story, White Noise), ce qui a de quoi intriguer connaissant la filmographie du duo. Ajoutez à cela la présence devant sa caméra de Ryan Gosling, qui prêtera ses traits à Ken – rôle pour lequel il arbore une belle couleur platine – ainsi que Emma Mackey, Ncuti Gatwa, Simu Liu, Alexandra Shipp, Michael Cera, Issa Rae ainsi que Will Ferrell. La collaboration de cette fine équipe ne peut que susciter la curiosité quant à la teneur de ce Barbie, qui va sans nul doute se jouer des apparences et partir vers une direction moins convenue qu’il n’y paraît.

Prenant la forme d’une comédie musical assurément kitsch et colorée, cette adaptation s’articulera sur la découverte du monde réel par la poupée et son top model de boyfriend, alors que cette dernière vient d’être expulsée de Barbieland – sous prétexte qu’elle n’était pas jugée ‘parfaite’. Le potentiel est là pour que l’on se moque de la superficialité de notre époque et des diktats de la société, dans la joie et la bonne humeur. Pour découvrir ce que Greta Gerwig et Margot nous ont concocter, il faudra patienter jusqu’au 19 juillet.

Synopsis :

À Barbie Land, vous êtes un être parfait dans un monde parfait. Sauf si vous êtes en crise existentielle, ou si vous êtes Ken.

[Cinéma] Mission : Impossible – Dead Reckoning, Ethan Hunt s’offre un baroud d’honneur en deux actes

Publicités

Un an après le parcours stratosphérique de Top Gun : Maverick, Tom Cruise rappelle à son public l’existence de son autre franchise culte, à savoir Mission : Impossible, qui se prépare à une conclusion en apothéose avec un dytique final intitulé Dead Reckoning – servant de porte de sortie à l’infatigable Ethan Hunt, toujours prompt à se retrouver dans des situations inextricables.

Bande annonce #1

Bande annonce #2

Qui aurait cru, il y a de cela vingt-sept ans, que l’adaptation cinématographique de Mission : Impossible pilotée par Paramount Pictures deviendrait le porte-étendard de la carrière de Tom Cruise en devenant une véritable franchise couronnée de succès ? Peu habitué à s’adonner aux suites à l’époque, l’acteur a pourtant trouvé l’écrin qui lui convenait pour s’épanouir en tant que producteur et bien entendu cascadeur.

Ainsi, au gré des années, Ethan Hunt est devenu un personnage récurrent, apparaissant régulièrement sur les écrans sans que la routine ne s’installe – même si quelques balbutiements ont été au programme. On se rappelle d’un deuxième volet chapeauté par un John Woo en roue libre faisant office de vilain petit canard aux yeux de beaucoup ainsi que de l’opus suivant, qui marquait le passage de J.J. Abrams à la tête d’un long-métrage, qui n’eût pas le succès escompté financièrement parlant – à une période où Cruise n’était pas en odeur de sainteté à Hollywood. Tel le phénix, le comédien a su relever la tête et su redonner l’élan nécessaire à sa saga fétiche pour ne pas qu’elle sombre dans l’oubli. Une mission pour le moins réussie tout d’abord grâce à Brad Bird, qui a relancé avec brio la machine avec Protocole Fantôme, puis Christopher McQuarrie dont l’association avec Tom Cruise a fait des étincelles.

Depuis leur rencontre sur le tournage de Jack Reacher, les deux hommes ne se sont plus quittés et ont travaillé de concert pour donner une autre impulsion à Mission : Impossible, avec des intrigues connectés et un esprit d’équipe davantage présent en filigrane, ce que le public a pu apercevoir dans Rogue Nation puis Fallout, le dernier volet en date, qui est parvenu à engranger 791,6M$ sur la surface du globe en 2018 – soit l’épisode le plus rentable parmi les six produits. De quoi conforter notre duo dans sa volonté de capitaliser sur Ethan Hunt, avec un baroud d’honneur en deux parties, destiné à rattacher toutes les pièces de ce puzzle en construction depuis 1996 pour mieux allumer la mèche d’un final explosif. Ce que les premières images de Dead Reckoning – Partie 1 tend à confirmer, multipliant les références au passé à travers les séquences d’actions dépeintes à l’image ainsi que l’apparition de visage connus de la franchise (Ving Rhames, Simon Pegg, Rebecca Ferguson, Vanessa Kirby…et Henry Czerny, qui avait interprété Eugene Kittridge – le boss de l’agence M:I – dans le film original de Brian DePalma).

Entre deux cascades de Tom Cruise, qui ne cesse de repousser ses limites, que ce soit au volant d’une voiture, sur le toit d’un train ou tout simplement dans les airs, nous avons également l’occasion de découvrir les nouvelles recrues de ce dytique – dont Hayley Hatwell, Shea Whigham et Pom Klementieff. Si son intrigue est pour le moment brumeuse, Mission : Impossible – Dead Reckoning s’annonce tendu pour Ethan Hunt et son équipe, à la croisée des chemins face à une menace inconnue – qui vont les amener sur un terrain pour le moins glissant. Alliances et trahisons sont à prévoir pour cette première partie d’une quête crépusculaire pour nos héros. Pour en savoir plus, il faudra encore patienter un peu, le long-métrage étant attendu pour le 12 juillet en salles.

[Cinéma] Indiana Jones et le Cadran de la Destinée : Harrison Ford répond (une ultime fois) à l’appel de l’aventure

Publicités

En 2008, Steven Spielberg et George Lucas sortaient de sa retraite leur personnage fétiche, Indiana Jones, pour mener à bien un quatrième volet, sous-titré Le Royaume du Crâne de Cristal. Une expérience en demi-teinte dans la mesure où si le succès était au rendez-vous, avec un box office mondial s’élevant à 790,6M$, la qualité du film aura divisé les fans ainsi que la critique. De quoi parachever l’œuvre du plus célèbre archéologue du septième art sur une note amère – surtout après La Dernière Croisade. Ou du moins c’est ce que l’on pensait car finalement ce chant du cygne n’en était pas un ! De l’eau a coulé sous les ponts et l’heure semble venue pour le professeur Jones de revêtir son fedora, son cuir de même que son fouet pour partir en destination d’une quête synonyme de baroud d’honneur.

Bande annonce #1

Bande annonce #2

Un parfum de nostalgie va ainsi souffler dans les salles obscures avec Indiana Jones et le Cadran de la Destinée, un opus empli de symbolisme puisqu’en plus de confronter notre protagoniste à son passé, nous allons assister devant et derrière la caméra à un passage de flambeau. Réalisateur emblématique de la franchise, Steven Spielberg passe la main à un autre cinéaste, se contentant de veiller son bébé à distance en occupant le poste de producteur exécutif aux côtés de son comparse Lucas, qui n’est pas non plus à l’origine de l’histoire du film. Mais alors qui est aux manettes de cette ultime aventure ? James Mangold, qui au cours de sa carrière aura su naviguer entre les genres, passant notamment de Logan à Le Mans 66. Se voyant confier une saga pour le moins appréciée du grand public, notre homme est donc attendu au tournant et sachant cela, nul doute qu’il s’est appliqué au maximum pour que la continuité soit au rendez-vous par rapport à son aîné. Ce qui ne peut que susciter de la curiosité quant à la teneur de l’épopée nous attendant à l’horizon.

Toujours porté par Harrison Ford, toujours fringuant à plus de quatre-vingt printemps, ce cinquième opus nous entraînera à la fin des années 60, dans une Amérique en pleine frénésie quant à la conquête spatiale. Dans un monde en pleine mutation, tournant son regard vers la Lune, s’intéresser aux vestiges du passé paraît caduc. Et pourtant, par la forces des choses, ce cher Indy va se retrouver à crapahuter tout autour du globe pour retrouver un mystérieux artéfact, comme au bon vieux temps. Accompagné de sa nièce, incarnée par Phoebe Waller-Bridge, notre héros devra affronter moults menaces ainsi que ses ennemis favoris – les Nazis – pour tracer son chemin vers ce fameux Cadran de la Destinée, MacGuffin dont on ne sait rien pour le moment. Ce qui est sûr, en voyant les premières images du long-métrage venant d’être révélées, c’est que ce voyage crépusculaire s’annonce périlleux pour notre tandem et ravivera des souvenirs à Henry Jones Jr. alors que passé et présent semblent s’emmêler dans cette course contre la montre. L’intrigue reste nébuleuse, ce qui est un bon point.

En plus de l’iconique Harrison Ford et de sa protégée Phoebe Waller-Bridge, Indiana Jones et le Cadran de la Destinée comprendra au casting Mads Mikkelsen, Antonio Banderas, Shaunette Renee Wilson, Toby Jones, Boyd Holbrook ou encore John Rhys-Davies – l’interprète de Sallah dans Les Aventuriers de l’Arche Perdue et La Dernière Croisade. Sa sortie est prévue pour le 28 juin dans les salles obscures françaises et on a hâte de voir le résultat.

[Série] Marvel Studios : Nick Fury s’en va-t-en guerre avec Secret Invasion

Publicités

Depuis la parenthèse Les Gardiens de la Galaxie : Joyeuses Fêtes, Marvel Studios s’est plutôt faite discrète sur le petit écran, attendant sagement le bon moment pour débuter comme il se doit la partie télévisuelle de sa Phase 5, qui devrait donner une résonnance particulière à ce chapitre qu’est The Multiverse Saga. Alors que Ant-Man et La Guêpe : Quantumania s’est chargé de nous présenter en bonne et due forme Kang le Conquérant – le nouveau big bad du MCU – il est temps désormais de connaître d’autres enjeux de cet arc, notamment via les séries produites pour Disney +. Ce dont va se charger Secret Invasion qui, à l’instar de son pendant dans le monde des comics, va être l’occasion de redonner un rôle de premier ordre à Nick Fury mais également au peuple Skrull, qui n’a pas réellement eu le temps de briller depuis Captain Marvel.

Ralentissant la cadence après une année 2022 des plus rythmée, avec pas moins de quatre productions au compteur (Moon Knight, Miss Marvel, Je s’appelle Groot, She-Hulk), Marvel Studios cherche à (re)créer l’événement et compte bien y parvenir avec sa relecture d’un célèbre run de la Maison des Idées imaginé par le scénariste Brian Michael Bendis à la fin des années 2000, où la menace Skrulls prenait un tout autre visage et perturbait l’équilibre mondial.

Si l’Univers Cinématographique Marvel n’est pas aussi fourni que dans les comics, cela n’empêche pas Kevin Feige et ses équipes d’évoquer cette invasion, en prenant un angle différent. Ici, le conflit sous-jacent concerne diverses factions de la nation alien, qui se déchirent pour des raisons encore nébuleuses pour le moment. Seule certitude ? Le fait que Nick Fury soit une pièce maîtresse de cet échiquier, l’ancien patron du S.H.I.E.L.D. ayant un rôle à jouer dans le délitement de la situation. Alors qu’il avait quitté la surface de la Terre il y a quelques années, comme en témoignait la scène post-générique de Spider-Man : Far From Home, notre espion revient dans la partie et doit faire face à ses engagements passés et à ses nombreux secrets (qui ont des secrets dixit Tony Stark).

Incarné par Samuel L. Jackson depuis Iron Man, Fury semble prendre part à un baroud d’honneur, ressortant les armes pour une mission se voulant personnelle. Aux côtés de ses rares acolytes, Talos (Ben Mendelsohn), Maria Hill (Cobie Smulders) ou Everett Ross (Martin Freeman), notre homme d’action va se retrouver au beau milieu d’une guerre insidieuse car, comme nous le savons, les Skrulls peuvent prendre l’apparence de n’importe qui. De quoi ajouter une bonne dose de paranoïa à ce thriller d’espionnage, Secret Invasion semblant prendre le chemin d’un Captain America : Le Soldat de l’Hiver en terme d’ambiance. Nous en aurons le cœur net dès le 21 juin, date de lancement de la série sur Disney +.

[Cinéma] Donjons & Dragons : L’Honneur des Voleurs avance ses pions

Publicités

Après s’être légèrement dévoilé au public cet été lors du Comic Con de San Diego, le troisième opus de l’adaptation cinématographique de Donjons & Dragons, intitulé L’Honneur des Voleurs, avance doucement mais sûrement ses pions, alors que Paramount Pictures a dans l’espoir de redonner du souffle à la franchise, elle qui a connu tant de déceptions dans le domaine du live-action. Prêts à en découvrir davantage ?

Teaser

Bande annonce

Bande annonce #2

À la base un jeu de rôle emblématique, créé par Gary Gygax et Dave Arneson en 1974, Donjons & Dragons aura su se diversifier avec succès en étendant sa mythologie à travers une multitude de jeux de société, des romans et des séries. Si des longs-métrages ont également vu le jour, le résultat n’a par contre pas été à la hauteur des attentes.

L’expédition de la franchise dans le domaine du septième art a débuté par un échec en 2000 avec une adaptation live chapeautée par Courtney Solomon éreintée par la critique et le public. Une douche froide qui n’a pas empêché la mose en chantier de deux suites (sous-titrées La Puissance Suprême et Le Livre des Ténèbres) sorties directement en vidéo. Un revers de taille qui explique la mise au placard de la saga, jusqu’à aujourd’hui.

Sous l’impulsion de Entertainment One et Sweetpea Entertainment, le feu vert a été donné pour que soit développé un reboot, histoire de repartir sur une page blanche. Une tâche confiée au tandem Jonathan Goldstein/John Francis Daley, qui a su faire ses preuves dans le registre de la comédie avec Comment Tuer Son Boss ? ou encore Game Night. Au casting, Chris Pine, Michelle Rodriguez, Regé-Jean Page, Sophia Lillis, Justice Smith ainsi que Hugh Grant se sont portés volontaires pour prendre part à cette aventure intitulée Donjons & Dragons : L’Honneur des Voleurs, qui implique une quête pour le moins mouvementée pour un groupe de brigands – qui devront se serrer les coudes et travailler en équipe pour vaincre les ennemis se trouvant sur leur passage.

À la vue de ces premières images, une lueur d’espoir devrait poindre dans le cœur des fans de l’univers Donjons & Dragons, qui attendent d’avoir une production un minimum divertissante sur grand écran. Le style second degré de Goldstein/Daley couplé à la bonhomie de la distribution – qui semble avoir trouvé une petite cour de récré où s’amuser ensemble – devrait pouvoir aider à faire passer la pilule si l’intrigue n’est pas des plus enthousiasmante. Ce que nous pourrons découvrir le 12 avril en salles.

Synopsis :

Un voleur beau gosse, une bande d’aventuriers improbables entreprennent un casse épique pour récupérer une relique perdue. Les choses tournent mal lorsqu’ils s’attirent les foudres des mauvaises personnes.

Donjons & Dragons : L’honneur des voleurs transpose sur grand écran l’univers riche et l’esprit ludique du légendaire jeu de rôle à travers une aventure hilarante et pleine d’action.

[Cinéma] Bonne Conduite, Laure Calamy en justicière de la route pour Jonathan Barré

Publicités

Un an à peine après Les Vedettes, Jonathan Barré effectue déjà son retour derrière la caméra avec Bonne Conduite, une comédie noire pilotée par Laure Calamy, qui va justement voler la vedette à ses camarades du Palmashow Grégoire Ludig et David Marsais en se laissant porter par l’adrénaline propre au carnage routier imaginé par le cinéaste. Attachez vos ceintures, ça va secouer.

Complice de toujours du Palmashow, Jonathan Barré aura su naviguer entre le petit et le grand écran avec ses camarades de jeu, ayant mis en scène les sketchs du duo ainsi que leurs deux longs-métrages. En passant la troisième, le réalisateur s’engage sur une nouvelle route, prenant le volant d’un projet solo qu’il a co-écrit avec le scénariste Laurent Vayriot. Si Grégoire Ludig et David Marsais sont encore de la partie, Bonne Conduite est avant tout un écrin pour Laure Calamy, figure de proue de ce délire routier où prévention rime avec éxecution.

Profitant de la pause récréative qu’il lui est proposée, l’actrice césarisée incarne une formatrice/psychologue aux méthodes pour le moins radicales, n’hésitant pas à jouer les juges et bourreaux pour faire respecter la loi. Travaillant dans un centre de récupération de points, notre anti-héroïne se retrouve confrontée à des conducteurs se fichant des règles, ce qui a le don de passablement l’énerver. Pour leur faire comprendre qu’ils suivent la mauvaise trajectoire, Pauline n’y va pas quatre chemins, leur rentrant littéralement dans le lard. Quand la psy voir rouge, il y a de la casse – et des morts – à l’arrivée.

Ce qui promet un délire tout feu tout flamme, le long-métrage semblant se diriger vers le thriller policier caustique, où l’humour noir va s’inviter entre deux coups de sang de notre justicière de la route, qui va se retrouver dans le collimateur des forces de l’ordre. Comprenant également au casting Tchécky Karyo, Thomas VDB, Sixtine Aupetit et Olivier Marchal, Bonne Conduite foncera tête baissée vers les salles obscures le 29 mars.

Synopsis :

Pauline a une méthode bien à elle pour faire de la prévention routière : formatrice dans un centre de récupération de points le jour, elle se transforme en serial killeuse de chauffards la nuit.

[Bande annonce] John Wick 4, Baba Yaga à l’assaut de la Grande Table

Publicités

Quatre ans après Parabellum, qui lui permettait de réaliser ses meilleurs résultats, avec 327,2M$ de recettes sur la surface du globe, la franchise John Wick s’apprête à débarquer de nouveau avec pertes et fracas dans les salles obscures, Chad Stahelski et Keanu Reeves ayant décidé de rempiler pour un quatrième volet. Profitant de la présence de son acteur fétiche au Comic Con de San Diego, le réalisateur s’est invité à l’événement pour révéler les premières images du long-métrage, qui verra notre implacable tueur à gages reprendre du poil de la bête après une trahison qui l’a particulièrement blessé – aussi bien physiquement que psychologiquement.

Teaser

Bande annonce

Bande annonce #2

Après une excommunication qui s’est soldé par une tête mise à prix et le saccage de l’hôtel Continental, John Wick sort une fois de plus de l’ombre pour régler ses comptes avec une hiérarchie qui a cherché à se débarrasser de lui – de quoi passablement énerver celui que l’on surnomme affectueusement Baba Yaga dans le milieu. Dans le viseur de notre anti-héros, son ancien ami Winston bien évidemment, dont la traîtrise l’a conduit à une douloureuse chute en conclusion du précédent opus mais également des membres de la Grande Table, l’institution criminelle centrale de la saga.

Blessé mais pas terre, ce cher John se remet doucement en forme avant de revêtir son plus beau costume et de passer à l’action, prêt à savourer ce doux plat qu’est la vengeance, qu’il connaît amèrement depuis que le grand public a fait sa connaissance, il y a déjà de cela huit ans. Au menu des réjouissances, un voyage d’un bout à l’autre du globe pour rencontrer de vieux amis mais également de nouveaux ennemis, afin de faire tomber ceux qui ont tenté de faire tomber notre as de la gâchette, remonté comme un coucou suisse. De quoi promettre du sang et de la violence, dans une ambiance clinquante où les affrontements se suivent mais ne se ressemblent pas.

Si aux côtés de Keanu Reeves, qui paraît toujours en grande forme à la vue de ces premières images, nous retrouverons des habitués tels que Ian McShane, Laurence Fishburne, Lance Reddick, ce quatrième chapitre sera l’occasion de faire venir de nouveaux joueurs, notamment Donnie Yen, Hiroyuki Sanada et Scott Adkins – bien décidés à donner du leur dans cette démonstration de force. Il n’y a plus qu’à attendre le 22 mars pour voir tout ce beau monde se taper dessus sous la direction de Chad Stahelski, avant que celui-ci ne s’attèle à mettre en scène le prochain round, déjà officialisé par Lionsgate. Ajoutez à cela une série centrée sur le Continental ainsi que le spin-off Ballerina porté par Ana de Armas et vous avez un univers John Wick en pleine expansion.

© Metropolitan Films

Synopsis :

John Wick (Keanu Reeves) découvre un moyen de vaincre l’organisation criminelle connue sous le nom de la Grande Table. Mais avant de gagner sa liberté, Il doit affronter un nouvel ennemi qui a tissé de puissantes alliances à travers le monde et qui transforme les vieux amis de John en ennemis.

[Cinéma] Les Spots TV du 57e Super Bowl

Publicités

Cette nuit aux États-Unis a eu lieu la 57e édition du Super Bowl, qui clôture en grandes pompes la saison de la NFL soit événement sportif majeur, drainant chaque année des centaines de millions de téléspectateurs. Avec une telle audience, les studios en profitent généralement pour proposer des bandes annonces de leurs futurs films et séries à gros budget. Durant les pauses publicitaires émaillant cette finale opposant les Eagles de Philadelphie aux Kansas City Chiefs – qui a été remportée par ces derniers avec un score (serré) de 38 contre 35 – le public a pu découvrir des teasers et spots TV des productions à découvrir durant les prochains mois sur grand écran. Outre la première bande annonce de The Flash et la seconde des Gardiens de la Galaxie Vol.3, nous avons ainsi eu le droit à des aperçus d’autres films attendus. Découvrez les ci-dessous :

Creed III (Sortie le 1er mars)

Synopsis :

Idole de la boxe et entouré de sa famille, Adonis Creed (Michael B. Jordan) n’a plus rien à prouver. Jusqu’à au jour où son ami d’enfance, Damian (Jonathan Majors), prodige de la boxe lui aussi, refait surface. A peine sorti de prison, Damian est prêt à tout pour monter sur le ring et reprendre ses droits. Adonis joue alors sa survie, face à un adversaire déterminé à l’anéantir.

Scream VI (Sortie le 8 mars)

Synopsis :

Après les derniers meurtres de Ghostface, quatre survivants quittent Woodsboro pour un nouveau chapitre. Dans Scream VI, Melissa Barrera (“Sam Carpenter”), Jasmin Savoy Brown (“Mindy Meeks-Martin”), Mason Gooding (“Chad Meeks-Martin”), Jenna Ortega (“Tara Carpenter”), Hayden Panettiere (“Kirby Reed”) et Courteney Cox (“Gale Weathers”) reprennent leurs rôles dans la franchise aux côtés de Jack Champion, Henry Czerny, Liana Liberato, Dermot Mulroney, Devyn Nekoda, Tony Revolori,
Josh Segarra et Samara Weaving.

65 – La Terre d’avant (sortie le 15 mars)

Synopsis :

Après un terrible crash sur une planète inconnue, le pilote Mills (Adam Driver) découvre rapidement qu’il a en réalité échoué sur Terre…il y a 65 millions d’années. Pour réussir leur unique chance de sauvetage, Mills et Koa (Ariana Greenblatt) l’unique autre survivante du crash, doivent se frayer un chemin à travers des terres inconnues peuplées de dangereuses créatures préhistoriques dans un combat épique pour leur survie.

Super Mario Bros – Le Film (sortie le 5 avril)

Synopsis :

Les studios Illumination et Universal Pictures s’associent pour produire le film basé sur l’univers du célèbre jeu : Super Mario Bros.

Donjons et Dragons : L’Honneur des Voleurs (sortie le 12 avril)

Synopsis :

Un voleur beau gosse, une bande d’aventuriers improbables entreprennent un casse épique pour récupérer une relique perdue. Les choses tournent mal lorsqu’ils s’attirent les foudres des mauvaises personnes.

Donjons & Dragons : L’honneur des voleurs transpose sur grand écran l’univers riche et l’esprit ludique du légendaire jeu de rôle à travers une aventure hilarante et pleine d’action.

Fast X (sortie le 17 mai)

Synopsis :

Après bien des missions et contre toute attente, Dom Toretto (Vin Diesel) et sa famille ont su déjouer, devancer, surpasser et distancer tous les adversaires qui ont croisé leur route. Ils sont aujourd’hui face à leur ennemi le plus terrifiant et le plus intime : émergeant des brumes du passé, ce revenant assoiffé de vengeance est bien déterminé à décimer la famille en réduisant à néant tout ce à quoi, et surtout à qui Dom ait jamais tenu.

Transformers : Rise Of The Beasts (sortie le 7 juin)

Synopsis :

Transformers : Rise of the Beasts renoue avec l’action et le grand spectacle qui ont séduit des millions de spectateurs à travers le monde. Ce nouveau volet se déroule au cœur des années 90 et nous emmène aux quatre coins du globe. Une toute nouvelle faction de robots Transformers – les Maximals – se joindront aux Autobots dans l’éternelle bataille qu’ils livrent face aux Decepticons.

Indiana Jones et le Cadran de la Destinée (sortie le 28 juin)

Synopsis :

Ce nouvel opus réalisé par James Mangold (LE MANS 66, LOGAN) marque le retour d’Harrison Ford dans le rôle du légendaire archéologue.

[Cinéma] Les Gardiens de la Galaxie Vol.3 : Baroud d’honneur pour James Gunn et ses joyeux drilles

Publicités

Alors que Black Panther : Wakanda Forever vient de conclure la Phase 4 de l’Univers Cinématographique Marvel, l’heure est venue pour Kevin Feige et ses équipes de s’attaquer au prochain chapitre du MCU, The Multiverse Saga – initié par Ant-Man : Quantumania. À sa suite, James Gunn va revenir au sein de la Maison des Idées pour mettre un point final aux aventures décalées de ses fidèles Gardiens de la Galaxie, avec un troisième volet qui aura sans nul doute une saveur particulière pour les fans.

Bande annonce #1

Bande annonce #2

Passée une courte pause récréative sur Disney + avec Joyeuses Fêtes, Peter Quill et ses camarades d’infortune s’apprêtent à revenir sur grand écran pour un baroud d’honneur riche en émotions, Les Gardiens de la Galaxie Vol.3 marquant la conclusion d’une épopée spatiale de près de dix ans.

Avant de s’envoler pour de bon vers la Distinguée Concurrence, où il a pour mission de superviser le DC Universe aux côtés de Peter Safran, James Gunn se charge de refermer en personne le livre qu’il a lui-même ouvert en 2014 chez Marvel Studios, introduisant nos mercenaires au grand cœur dans l’échiquier du MCU. Depuis leurs premiers pas, les Gardiens de la Galaxie ont eu le droit à deux opus en solo avant de prendre part à Avengers : Infinity War/Endgame, une étape ô combien crucial dans leur développement, dont les conséquences se font encore ressentir aujourd’hui. Il faut dire que l’impact de Thanos a été dramatique pour l’équilibre du groupe, avec la mort de Gamora…puis l’apparition d’une version plus jeune de cette dernière, qui ne connaît pas la majorité des membres de cette famille dysfonctionnelle qu’elle s’était trouvée. Une épreuve marquant son bien-aimé Star-Lord.

Depuis leurs débuts, l’esprit de famille est l’une des valeurs fondamentales de la franchise, permettant à son maître d’orchestre de jouer avec nos sentiments, le drame s’invitant entre deux délires. Une constante qui va se voir décupler dans ce Volume 3, alors que nos personnages arrivent à un carrefour de leur vie. Entre le retour de Gamora 2.0 ainsi que la rencontre entre deux ennemis de poids, à savoir Adam Warlock et le Maître de l’Evolution, nos Gardiens seront mis à l’épreuve comme jamais, physiquement, émotionnellement. Personne n’est à l’abri, ce que les premières images du film tendent à confirmer. Qui va passer l’arme à gauche ? Réponse le 3 mai en salles.

Synopsis :

Chris Pratt, Zoe Saldana, Dave Bautista, Karen Gillan, Pom Klementieff, Vin Diesel (la voix de Groot dans la version originale), Bradley Cooper (la voix de Rocket Raccoon dans la version originale), Sean Gunn, Chukwudi Iwuji, Will Poulter et Maria Bakalova retrouveront une nouvelle fois le réalisateur James Gunn pour une nouvelle aventure dans LES GARDIENS DE LA GALAXIE VOLUME 3. Mais notre bande de marginaux favorite a quelque peu changé. Peter Quill, qui pleure toujours la perte de Gamora, doit rassembler son équipe pour défendre l’univers et protéger l’un des siens. En cas d’échec, cette mission pourrait bien marquer la fin des Gardiens tels que nous les connaissons.