Alors que l’hiver nous tend les bras et qu’il est temps de commencer à déguster son calendrier de l’avant, jetons un dernier regard sur le mois de Novembre et ses nombreuses propositions cinématographiques.

Bienvenue dans ce nouveau numéro de la rubrique Coup De Cœur/Déceptions, où vous pouvez partager librement vos avis concernant les longs-métrages découverts dans les salles obscures.

En OctobreJoker de Todd Phillips avait fait beaucoup de bruit, faisant parler de lui de manière positive ou négative et revenant dans la plupart des critiques des participants. Un film va t-il également de dégager du lot pour Novembre ? C’est ce que nous allons découvrir en lisant vos retours !

CoupDeCoeurDéception

Débutons ce numéro avec le passage en revue de neit50, qui nous a fait part de ses ressentis sur longs-métrages vus au cinéma durant le mois écoulé :

Coups de cœur :

Les Misérables : Les acteurs m’ont bcp plu, le rythme, le fait qu’il n’y est pas de surenchère de violence. Je suis resté quelques instants dans mon fauteuil avant de me lever.
A Couteaux Tirés : Je suis fan de ce genre de film (Le Crime de l’Orient Express…), la plaïande d’acteurs qui se font merveilleusement dans le scénarios, la réalisation, l’ambiance, l’histoire, j’ADORE.
Hors Normes : Histoire incroyable qui donne envie de croire en l’autre, chose que l’on perd malheureusement. C’est drole, c’est émouvant, c’est compliqué, ça fait réfléchir. Le duo Cassel – Kateb fonctionne à merveille. Un vrai coup de coeur.
Le Mans 66 :Les scènes de voitures sont au top, l’ambiance des années 60 bien ressenti, le duo d’acteur (même si Matt Damon mange un peu Bale ). Les films de bagnoles sont rares (et difficile(voir impossible) de dépasser Rush de Ron Howard) mais je me suis régalé.
La Belle Epoque : Une histoire original, acteurs excellents, drôle, émouvant. Ardant/Auteuil sublime.

Déceptions :

The Irishman : La technologie du rajeunissant n’est pas du tout passé pour moi dans un premier temps. Quand trop long. Un Scorsese qui fait ce qu’il sait faire de mieux mais qui donne l’impression d’avoir fait sont dernier film, très nostalgique, mélancolique. Je me suis ennuyé (j’ai honte de dire ça d’un Scorsese mais c’est vrai). Et puis pas au cinéma, seulement sur Netflix (il paie c’est comme ça) mais cela ne permet pas à tout le monde de le voir.
Countdown : On est toujours sur la même chose en ce moment sur ce genre de film. Ça se regarde mais rien de plus. Pas de frissons, plu de frissons je dirais même. J’en peux plus je veux faire pipi dans mon pantalon de nouveau. FAITES MOI PEUR !!! Quand on aime les films d’horreur, on veut du scénario, des frissons de chez frissons pour avoir du mal à dormir, pour avoir de mauvaises sensations pendant plusieurs jour.
Terminator Dark Fate : MAIS QU’EST CE QUE C’EST QUE CA ??? IL ne fallait pas le faire pour faire ça. La mauvaise ambiance dans les coulisses ne peut pas être la seule excuse pour cette énorme gachis d’une saga légendaire…

Passons au compte-rendu du blogueur Gommahan qui revient sur trois œuvres cinématographiques visionnées ces dernières semaines :

Coup de cœur :

Le Mans 66 : pure merveille. Shelby et Miles sont géniaux par leurs personnalités extravagantes et les acteurs qui les incarne. Un scénario captivant avec une bonne construction de la rivalité Ford/Ferrari jusqu’à un affrontement haletant lors des 24 heures du Mans. Les 2h30 du film sont passés à une vitesse folle !

Sa critique complète à retrouver à cette adresse : https://gommahan.wordpress.com/2019/11/26/cinema-express-le-mans-66/

Les Misérables : touchant et d’une très grande justesse. Une narration qui nous prend aux tripes par sa faculté à nous montrer la jeunesse en colère, une banlieue sur une plaque chauffante et une police dépassée avec un sous-texte fort sur la société actuelle et la vie dans les banlieues. 

Sa critique complète à lire par ici : https://gommahan.wordpress.com/2019/12/02/cinema-express-les-miserables-de-ladj-ly/

Déception :
-Midway
Malgré un gros casting et ses envolées explosives Michael Bay-esque, ce film historique n’a pas réussi à prendre l’altitude qu’on aurait pu souhaiter. Bien rythmé, de l’action mais fort oubliable car pas de profondeur.

Les Misérables de Ladj Ly ainsi que Le Mans 66 de James Mangold semblent avoir plu au public puisque ces deux films se retrouvent également dans les avis d’Audrey et de François :

Véritable film coup de poing, Les Misérables nous montre avec une efficacité redoutable l’impasse dans laquelle se retrouvent confrontés les principaux acteurs de la vie dans les quartiers. Sans jamais tomber dans la pure démagogie ou dans la simple critique, Ladj Ly pointe du doigt l’abandon de l’Etat concernant les banlieues. L’équilibre si fragile régnant dans ces enclaves est prête à se fendre et dans un style se rapprochant du thriller, le réalisateur nous emporte dans une course contre la montre pour empêcher l’embrasement, pour un résultat prenant et au final anxiogène, qui se termine dans un silence glaçant. Une claque et un effort collégial à souligner avec une distribution plus que solide, que ce soit du côté des adultes que des plus jeunes. Clairement le film français de cette année pour ma part. On croise les doigts pour les Oscars !

Mon coup de coeur ciné de ce mois de Novembre se porte sur Le Mans 66 de James Mangold. Ne raffolant pas spécialement des films se centrant sur le genre automobile mais me laissant tenter par le tandem Christian Bale/Matt Damon, qui s’annonçait prometteur, j’ai été agréablement surpris par ce biopic rutilant sur la rivalité Ferrari/Ford. Outre les acteurs qui sont charismatiques et le duo phare au diapason, cette course pour l’innovation se mène tambour battant et l’on se plaît à suivre aussi bien les coulisses de la fabrication de la fameuse voiture capable de rivaliser avec le bolide italien, qui ne manque pas de rythme, que les célèbres 24h du Mans, principalement grâce à la réalisation frénétique et enlevée de James Mangold, qui nous entraîne au plus près de la piste et réussi à proposer une course de toute beauté et parfaitement reconstituée. De l’excellent cinéma traditionnel, qui sent bon l’asphalte et qui mérite d’être vu.

La blogueuse SacriLedge, fidèle de la rubrique, revient quant à elle sur ses derniers coups de coeur :

Je commence par mon gros coup de coeur du weekend, voire du mois : A Couteaux Tirés.

Il faut dire que ça faisait bien longtemps que je l’attendais celui-là. Truffé de bons acteurs, d’humour et d’une vraie enquête à rebondissements, dans un cadre, comme dit dans le film « comme un plateau de Cluedo », c’est avec réel plaisir que j’ai assisté à cette séance. Les spectateurs ont semblé être du même avis que moi puisqu’il y a eu une salve d’applaudissements à la fin. Amis du bon goût, je vous invite à aller le voir sans tarder !

Belle surprise également pour J’accuse, qui m’a permis de découvrir avec moult détails ce qui s’était passé à l’époque de l’affaire en question. Les costumes et les décors valent le coup et, malgré quelques longueurs, le film tient en haleine de bout en bout, tout en dégageant un lourd sentiment de tristesse et de frustration vis-à-vis de tous les événements qui dépassent bien souvent les principaux intéressés.

Je touche également un mot concernant le film du live de Mylène Farmer, qui fut un très beau moment d’émotion. Je ne suis cette fois-ci pas allée au Grand Rex mais dans une salle plutôt froide où l’ambiance n’était pas funky mais François Hanss a réussi le pari risqué de sortir ce film si peu de temps après les concerts. Je regrette toutefois certains passages qui se détachent trop du réel (effets ralentis, lasers et dégradés post-prod) ainsi que le peu de scènes montrant la foule. Le tout reste évidemment bon, replongeant dans les heures fortes en émotion du concert.

Fabien, du blog EscapeToCulture.net, compte parmi les intervenants de ce numéro de Coup De Coeur/Déceptions et nous fait part de ses avis sur les longs-métrages qu’il a eu l’occasion de voir ce mois-ci :

Coup de coeur : 

Hors Normes 

En 2019, j’ai vu neuf films français en tout. Parmi les neuf, peu m’ont vraiment marqué. Et après avoir regardé l’excellent Les Invisibles de Louis-Julien Petit, il était impossible qu’un autre long-métrage français fasse mieux que ce dernier. Eh bien, je me suis trompé : Éric Toledano et Olivier Nakache signent avec Hors Normes ce qui sera sans aucun doute le film français de 2019 (pour moi). En d’autres mots, rarement une comédie dramatique m’a autant fait passer du rire aux larmes en un clin d’œil, et ce plusieurs fois d’affilée.
J’avais adoré Samba (sorti en 2014), mais j’avais été refroidi par Le Sens de la Fête (sorti en 2017). Pour moi, ce duo de réalisateurs excelle surtout dans les comédies dramatiques sociales, dans lesquelles ils mélangent avec brio scènes comiques et scènes dramatiques. Ils avaient réussi ça en parlant d’immigration et de burn-out, ils réitèrent l’exploit avec la thématique de l’autisme. D’ailleurs, il y a un fait « amusant » : les personnages ne prononcent ce mot à aucun moment. Ou alors, ils disent « personnes atteintes de troubles autistiques ». Pour un film avec un sujet pareil, il fallait le faire ! D’emblée, ça incite le spectateur à ne pas être dans le jugement et à s’attacher plus facilement à ces êtres qui sont « hors normes ».

Critique complète à découvrir ici : https://www.escapetoculture.net/cinema-hors-normes/

Semi-déceptions :

Maléfique – Le Pouvoir Du Mal

Quand j’ai appris qu’une suite de Maléfique allait sortir, j’étais dubitatif concernant son utilité. En sortant du cinéma, je le suis toujours. Certes, on apprend des choses intéressantes sur le personnage de Maléfique. Or, finalement, n’aurait-il pas été mieux de faire un seul film de 2 h – 2 h 30 ? Disney vous répondra que non, car il faut faire du fric. Et je leur ai bien refilé mon argent pour aller voir Maléfique — Le Pouvoir du Mal. Bref, moi qui avais adoré le premier volet, sa suite est une « semi-déception » pour moi.

Dans l’ensemble, ce film m’a bien diverti. Je pense d’ailleurs que c’est ce qu’il faut en attendre : un divertissement hollywoodien avec un scénario hyper convenu et un jeu d’acteur souvent très approximatif. Commençons par ce point : dans le trio d’actrices principales, il n’y a qu’Angelina Jolie qui tire son épingle du jeu dans le rôle de Maléfique. On sent qu’elle est mal desservie par le scénario par moments (cf. ses scènes avec Aurore qui sont niaises comme ce n’est pas permis). Néanmoins, elle s’en sort très bien pendant les passages avec les fées noires et on voit bien l’évolution de son personnage. J’ai beaucoup aimé en apprendre plus sur qui elle est et d’où elle vient. Mais certaines questions restent cependant en suspens (que je n’aborderai pas ici, si vous n’avez toujours pas vu le film). Bref, j’ai aimé le fait que sa vulnérabilité soit encore mise en avant dans ce deuxième volet.

L’ensemble de la critique est à découvrir sur ce lien : https://www.escapetoculture.net/cinema-maleficent-evil-of-mistress/

La Belle Et Le Clochard (2019)

Pour commencer avec les points positifs, la thématique de l’abandon des animaux domestiques est bien mieux traitée que dans le dessin-animé. Par ailleurs, le passage où Clochard raconte à Lady son passé m’a beaucoup ému. Le message à ce sujet dans le dessin-animé était donc beaucoup moins clair, selon moi. J’ai aussi adoré le troisième acte, avec le rat dans la chambre du bébé (c’était déjà l’un de mes passages préférés dans la version originale). La tante a enfin ma punition qu’elle mérite (je la détestais déjà dans le film d’animation). La fin m’a bien évidemment ému et encore une fois, j’ai failli verser ma petite larme (pourquoi Disney me fait toujours cet effet ?). Enfin, j’ai été ravi de voir la scène des spaghettis reprise et les différentes références au film de 1955.

Pour le reste, je doute déjà de la pertinence de certains changements scénaristiques. À commencer par le chien Jack qui devient Jacqueline (l’intérêt de ce changement de sexe ?). Puis, on a les chats qui ne sont plus des siamois (POURQUOI ?!?) et leur chanson qui est donc différente (même si j’ai bien aimé la mise en scène). Et surtout, le fait qu’ils soient LAIDS (ça se voit qu’ils ont été faits à l’ordinateur). Enfin, Disney est de moins en moins subtil concernant les quotas à appliquer dans leurs films. Personnellement, je trouve ça de plus en plus flagrant et ça commence vraiment à m’agacer.

L’intégralité de la critique à lire à cette adresse : https://escapetoculture42.wordpress.com/2019/11/21/film-lady-and-the-tramp-2019/

La bonne surprise du mois :

Le Daim

Le Daim est le genre de film barré que je peux aimer comme détester. Heureusement, je me suis laissé prendre au jeu, alors que je ne savais pas où Quentin Dupieux voulait m’emmener au départ. C’est donc une comédie burlesque qu’il faut prendre telle quelle, avec un message de fond sur les gens solitaires qui s’ignorent.

Jean Dujardin livre là une très bonne partition. Pourtant, je suis mitigé sur cet acteur quand il ne fait pas de la comédie « pure et dure » (comme OSS 117 et Les Infidèles). Là, il arrive à trouver le bon équilibre entre le genre comique et le genre dramatique. Son personnage est sérieux et menaçant, alors que le mobile de ses actes est juste stupide et loufoque. Mais c’est ce qui fait justement le sel de ce film. Je ne suis pas non plus fan d’Adèle Haenel, mais elle est également très convaincante. Elle est naturelle, tout se donnant à fond dans ce rôle de serveuse à la recherche de sensations fortes.

Critique à lire dans son entièreté sur le blog EscapeToCulture : https://escapetoculture42.wordpress.com/2019/11/08/film-le-daim/ 

Ceciloule, du blog Pamolico, est revenue sur le long-métrage qui l’a le plus marqué parmi ceux regardés ces derniers temps :

Énorme coup de coeur pour moi : Matthias et Maxime 
 J’ai aimé la caméra inimitable de Dolan, ses plans poétiques et sa manière de raconter la tension amoureuse, ce qui précède une histoire, le malaise entre les deux amants en devenir, leur pudeur aussi.

Pour compléter son propos, voici un extrait de sa critique du film, à retrouver entièrement ici

Les acteurs sont au sommet de leur art. Dolan est à la fois d’un côté et de l’autre de la caméra et il excelle dans les deux rôles. Son jeu est d’une justesse incroyable, et Gabriel D’Almeida Freitas (Matt) n’a rien à lui envier. Matthias et Maxime est aussi l’occasion de renouer avec Anne Dorval, la « mommy » de toujours, alcoolique et invivable mais touchante – quoique. Même si là n’est pas le sujet, le spectateur perçoit une nouvelle fois cette tension entre mère et fils, cette toxicité qui se dégage d’une relation filiale ingérable.

De la finesse, beaucoup de pudeur, et un malaise presque palpable, voilà ce qui caractérise ce film. L’amitié entre ces jeunes sonne vraie, les gausseries des uns envers les autres sont parfois acerbes mais semblent toujours venir des tripes. Les sentiments sont dépeints avec beaucoup de subtilité, d’intelligence.

Nous terminons ce numéro avec un autre participant de la première heure, Thibaut revient en quelques mots sur les films qui lui ont plu ce mois-ci :

Voici mes nombreux coups de cœur pour novembre :

– « La Belle époque » avec Fanny Ardant, Daniel Auteuil, Doria Tillier, Guillaume Cannet et Pierre Arditi de Nicolas Bedos : j’ai eu la chance de le voir en avant première. Une œuvre clinquante, un excellent film choral qui mélange humour et émotion en ne manquant pas de saveur. Certaines répliques de Fanny Ardant vont devenir cultes.

« Victor, un sexagénaire désabusé, voit sa vie bouleversée le jour où Antoine, un brillant entrepreneur, lui propose une attraction d’un genre nouveau : mélangeant artifices théâtraux et reconstitution historique, cette entreprise propose à ses clients de replonger dans l’époque de leur choix. Victor choisit alors de revivre la semaine la plus marquante de sa vie : celle où, 40 ans plus tôt, il rencontra le grand amour… »

– « Adults in the room » de Costa-Gavras avec notamment Valeria Golino : le réalisateur mêle habilement la mécanique de l’action dramatique avec les ressorts plutôt burlesques de la farce de caractères ce qui aboutit à un mélange de comédie et de tragédie. Le cinéaste nous donne une leçon de cinéma.
« Après 7 années de crise le pays est au bord du gouffre. Des élections, un souffle nouveau et deux hommes qui vont incarner l’espoir de sauver leur pays de l’emprise qu’il subit. Nommé par Alexis, Yanis va mener un combat sans merci dans les coulisses occultes et entre les portes closes du pouvoir européen. Là où l’arbitraire de l’austérité imposée prime sur l’humanité et la compassion. Là où vont se mettre en place des moyens de pression pour diviser les deux hommes. Là où se joue la destinée de leur peuple. Une tragédie grecque des temps modernes. »

– « J’accuse » de Roman Polanski avec Jean Dujardin, Louis Garrel, Emmanuelle Seigner, Wladimir Yordanoff, Michel Vuillermoz et Laurent Stocker… Un film historique grandiose. Du grand art, à couper le souffle. Je ne juge pas l’homme mais l’artiste, Mr Polanski est un immense cinéaste.
« Pendant les 12 années qu’elle dura, l’Affaire Dreyfus déchira la France, provoquant un véritable séisme dans le monde entier.
Dans cet immense scandale, le plus grand sans doute de la fin du XIXème siècle, se mêlent erreur judiciaire, déni de justice et antisémitisme. L’affaire est racontée du point de vue du Colonel Picquart qui, une fois nommé à la tête du contre-espionnage, va découvrir que les preuves contre le Capitaine Alfred Dreyfus avaient été fabriquées.
A partir de cet instant et au péril de sa carrière puis de sa vie, il n’aura de cesse d’identifier les vrais coupables et de réhabiliter Alfred Dreyfus. »

– « Toutes ressemblance » de Michel Denisot avec Franck Dubosc, Sylvie Testud, Jérôme Commandeur et Caterina Murino avec la participation de Claire Chazal, Alain Delon, Béatrice Dalle, Michel Drucker, Laurence Ferrari, Patrick Poivre D’Arvor, Mademoiselle Agnès, Jean-Michel Apathie, Joey Starr…
Une comédie grinçante sur l’univers mordant de la télévision. Toute ressemblance avec des personnes existantes seraient fortuites.
 » Depuis son arrivée fracassante à la tête du 20 Heures, Cédric Saint Guérande, dit « CSG » est LE présentateur préféré des français. Ses audiences insolentes attisent les jalousies même au sein de La Grande Chaîne dont il est la star incontestée. Sa soif de pouvoir est sans limites, ce qui déplaît au nouveau président de la chaîne. La guerre est déclarée entre les deux hommes pour le plus grand plaisir de CSG. Jeux de pouvoir, réseautage, manipulations et coups bas : la lutte sera sans merci, et l’issue forcément spectaculaire. Bienvenue dans les jeux du cirque médiatique ! »

– « Last Christmas » avec Emilia Clarke, Michelle Yeoh et Emma Thompson : une merveilleuse comédie de noël, j’ai eu un vrai plaisir en le regardant, cela peu donner à certain l’envie de pousser la chansonnette en entendant la chanson culte de George Michael qui donne son titre au film.
 » Kate traîne derrière elle une série de mauvaises décisions et erre dans Londres au son des grelots accrochés à ses bottes de lutin, seul emploi qu’elle ait réussi à décrocher dans une boutique de Noël. C’est pourquoi elle n’en croit pas ses yeux quand elle rencontre Tom qui semble voir en elle bien plus que ce qu’elle laisse paraître. Alors que la ville se pare de ses plus beaux atours pour les fêtes de fin d’année, rien ne semblait les prédisposer à nouer une relation. Mais parfois, il suffit de laisser opérer la magie de Noël, d’ouvrir son cœur et d’y croire… »

– « A couteaux tirés » avec Jamie Lee Curtis, Christopher Plummer et Daniel Craig : une enquête délicieuse ayant des airs d’Agatha Christie, un polar passionnant et jubilatoire qui nous offre une leçon de cinéma.
« Célèbre auteur de polars, Harlan Thrombey est retrouvé mort dans sa somptueuse propriété, le soir de ses 85 ans. L’esprit affûté et la mine débonnaire, le détective Benoit Blanc est alors engagé par un commanditaire anonyme afin d’élucider l’affaire. Mais entre la famille d’Harlan qui s’entre-déchire et son personnel qui lui reste dévoué, Blanc plonge dans les méandres d’une enquête mouvementée, mêlant mensonges et fausses pistes, où les rebondissements s’enchaînent à un rythme effréné jusqu’à la toute dernière minute. »

À Couteaux Tirés, sorti le 27 Novembre se démarque déjà avec sa présence dans deux retours. Vu le bouche à oreille positif l’entourant, le long-métrage de Rian Johnson devrait à coup sûr figurer dans le futur numéro de Décembre et pourquoi pas dans votre Top de l’année. Réponse dans les semaines à venir !


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