Archives par étiquette : Joaquin Phoenix

[Cinéma] Joaquin Phoenix et Lady Gaga en pleine virée psychotique dans Joker : Folie à Deux

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Figure emblématique de l’univers Batman, le Joker a souvent suivi son nemesis lors de ses incursions sur grand écran, rappelant au public qu’il est un ennemi de choix pour notre chevalier noir. Mais il y a de cela cinq ans, Todd Phillips s’est décidé à mettre sur le devant de la scène le criminel au sourire carnassier, le réalisateur prenant la tangente de l’Univers Cinématographique DC pour proposer un long-métrage déconnecté de la mythologie principale. Un opus à part entière revisitant l’origin-story du personnage, se nommant ici Arthur Fleck, qui a su dépasser (et de loin) les attentes de Warner Bros., réussissant à engranger plus d’un milliard de dollars de recettes sur la surface du globe. Un plébiscite donnant au studio l’envie de prolonger le délire Joker.

Alors que James Gunn et Peter Safran s’affairent à mettre sur pied le futur DCU, qui s’initiera en 2025 avec le prochain Superman, le public aura de quoi s’en mettre sous la dent avec la parenthèse (dés)enchantée concoctée par Todd Phillips, qui va cette fois s’amuser avec les codes de la comédie musicale pour alimenter ce second opus de Joker, sous-titré Folie à Deux. Un titre à double-sens car faisant à la fois référence à un terme psychiatrique mais également à l’arrivée d’une partenaire de choix pour Arthur Fleck, une certaine Harley Quinn.

Créée il y a plus de trois décennies par Paul Dini (pour les besoins de la série Batman de Bruce Timm), celle qui se nommait Harleen Quinzel avant de se retrouver sous l’influence de Master J. a su tracer sa route au sein de l’écurie DC Comics, s’épanouissant par la suite dans divers titres dont Gotham City Sirens. Gagnant en popularité, notre bad girl a par la suite eu le droit à une belle exposition au cinéma à travers Suicide Squad, Birds of Prey ou encore à la télévision avec son propre show animé, Harley Quinn. Incarnée trois fois sur grand écran par Margot Robbie, cette chère Harley se dévoile sous un nouvel éclairage, Todd Phillips choisissant Lady Gaga pour sa version de l’acolyte du Joker. Un choix compréhensible sachant que le cinéaste a décidé de faire pousser la chansonnette à son casting, la romance détraquée entre Arthur et sa complice s’initiant entre désirs et réalité. En avant la musique !

Pour voir ce que donnera ce pas de deux entre Joaquin Phoenix et Lady Gaga, il faudra patienter jusqu’au 2 octobre, date de la sortie de Joker : Folie à Deux dans les salles obscures.

© Warner Bros.

[Cinéma] Napoléon : L’ascension de Bonaparte vu par Ridley Scott et Joaquin Phoenix

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Depuis quelques temps, Ridley Scott ne chôme pas, cumulant les projets que ce soit en tant que réalisateur et producteur. Que ce soit sur le petit et le grand écran, le cinéaste est pour le moins occupé et cela n’est pas prêt de changer. Deux ans après Le Dernier Duel et House Of Gucci, ce dernier s’apprête à revenir au cinéma avec un biopic sur un illustre personnage politique de l’Histoire de notre pays, à savoir Napoléon Bonaparte.

Bande annonce #1

Bande annonce #2

Figure historique qui aura profondément changé la face de la France durant son règne à l’aube du XIXe siècle, Napoléon Ier a souvent inspiré le septième art et ce dès les débuts du cinématographe. De Entrevue de Napoléon et du pape de Louis Lumière à Monsieur N. d’Antoine de Caunes en passant par le fameux Napoléon vu par Abel Gance, le parcours hors-normes de l’homme d’État a souvent intrigué.

Dernier en date à s’intéresser au militaire devenu le premier Empereur des français, Ridley Scott, qui va ainsi revenir sur l’accession du général au pouvoir aux côtés de Joaquin Phoenix. Vingt-trois ans après Gladiator le tandem se retrouve devant et derrière la caméra pour dresser le portrait de Bonaparte et prendre le pouls d’un pays devenant progressivement la plus grande puissance d’Europe. Une ascension s’effectuant notamment sous le prisme de la relation du protagoniste avec Joséphine de Beauharnais, sa première épouse, pour le moins tumultueuse – leurs difficultés pour concevoir un héritier devenant une affaire d’État et signa la fin de leur mariage.

Pensé comme un film épique, Napoleon comprend au casting Vanessa Kirby ou encore Tahar Rahim. Développé pour la plateforme Apple TV +, le long-métrage aura tout de même le droit à une exploitation sur grand écran et débarquera le 22 novembre en salles.

[Critique] Nos Âmes d’Enfants, à l’écoute de l’autre

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Cinq ans après 20th Century Women, le réalisateur Mike Mills effectue son retour derrière la caméra avec Nos Âmes d’Enfants, qui réunit au casting Joaquin Phoenix, Gaby Hoffmann, Woody Norman, Scoot McNairy, Molly Webster ou encore Jaboukie Young-White et se centre sur Johnny, journaliste radio voyant son quotidien bouleversé quand sa sœur lui demande de s’occuper de son fils…

Avec la délicatesse qui le caractérise, Mike Mills s’interroge sur le monde contemporain et porte à l’écran le fruit de ses questionnements – qui se traduisent dans Nos Âmes d’Enfants par une ode réflective sur les relations humaines où la parole est d’or, servant de vecteur de transmission universel pour exprimer une palette d’émotions. D’un bout à l’autre du territoire américain, le réalisateur se montre ainsi à l’écoute de la jeune génération, dont les angoisses se rapprochent plus que l’on ne le croit de celles des adultes – pour un état des lieux subtil des doutes qui accaparent petits et grands.

Officiant aussi bien au poste de metteur en scène que de scénariste, Mills met son élégance au service d’un récit pouvant parler au plus grand nombre, ses thématiques se concentrant sur les petits tracas de la vie quotidienne en général ainsi que sur les valeurs familiales. Tout est question de lien, que ce soit ceux du sang, du cœur ou d’ordre social dans cette comédie dramatique qui s’évertue à démontrer que la discussion est synonyme de connexion. Un constat qui se vérifie à travers le parcours de Johnny, un journaliste radio qui parcours le pays pour les besoins d’un reportage à visée pédagogique. Avec ses collègues, notre homme tend son micro à des enfants, des adolescents, leur demandant de livrer leur vision du futur. Paraissant au premier abord à l’aise avec cette jeunesse qu’il interviewe, ce dernier va réellement apprendre à interagir avec celle-ci grâce au contact de son neveu – dont il va s’occuper du jour au lendemain. Un proche qu’il connaît à peine, avec qui il doit apprendre à cohabiter à la suite d’une situation de crise intra-familiale. L’élément déclencheur de ce pas de deux entre Jesse et son oncle, qui est le moteur du long-métrage.

Reprenant le schéma classique du rapprochement progressif entre deux être ne se connaissant pas, Nos Âmes d’Enfants n’est pourtant pas dénué de charme, tant le tandem formé par Joaquin Phoenix et Woody Norman fait des étincelles en matière d’alchimie – le premier sachant s’éclipser pour laisser toute la place nécessaire à son benjamin pour s’exprimer et dévoiler sa palette de jeu. Le tout pour un rapport d’égal à égal qui fait la force du film, leur partition commune offrant de jolis moments de tendresse et de sensibilité. En se retrouvant dans le giron de l’autre, chacun voit sa vision des choses évoluer tandis que de leur expérience parallèle apparaît les angoisses d’un quotidien qui n’est pas si idéal, où des événements plus ou moins obscurs sont venus fendre leur armure. Ce temps passé ensemble fait alors office de thérapie familiale, les non-dits du passé devenant les mots du présent. De quoi donner un épaisseur supplémentaire aux messages véhiculés sur cette fameuse idée de transmission par l’expression.

Si l’on concède qu’en étant des plus bavardes, l’œuvre pourra en faire décrocher certains, dans l’ensemble cela reste plaisant de suivre cette session psychanalytique posée mais non dénuée d’intérêt, qui traite avec pudeur de ce qui nous unit, nous sépare et nous tracasse. Un point de vue renforcé par la réalisation de Mike Mills, qui laisse l’espace nécessaire à ses comédiens pour se livrer, sa caméra s’effaçant pour mieux que l’on se concentre sur le visage et la voix de sa distribution – le travail effectué sur le montage de même que sur le son aidant de ce fait à apporter du relief à cette fameuse parole – celle portée par la jeunesse se révélant riche d’esneignement.

Avec Nos Âmes d’Enfants, Mike Mills enveloppe le spectateur dans une bulle de tendresse avec une comédie dramatique où les mots soignent les maux, où confessions amènent à la réflexion quant au monde qui nous entoure. Une introspection prenant forme par le biais d’un choc des générations tout en délicatesse, qui donne la part belle à sa distribution.

© Metropolitan FilmExport

[Critique] Joker, les graines du chaos

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Trois ans après War Dogs, le réalisateur Todd Phillips revient derrière la caméra pour porter à l’écran une origin-story du nemesis le plus connu de Batman à savoir le Joker. Sous le maquillage du criminel en devenir, nous retrouvons Joaquin Phoenix, l’acteur faisant suite à Jared Leto qui avait incarné le clown dans Suicide Squad, portant le film aux côtés de Robert De Niro, Zazie Beetz, Frances Conroy et Brett Cullen.

Avec Joker, Todd Phillips fait souffler un vent de chaos et de révolte dans le paysage super-héroïque actuel, nous offrant une origin-story glauque, à l’image de l’ennemi juré du Chevalier Noir.
Dans l’univers des comics, l’histoire du Joker a toujours été floue, ce qui renforce l’ambiguïté du personnage et son aura, étant représenté comme le symbole de l’anarchie. Cette idée est reprise ici par Todd Phillips et Scott Silver à travers le parcours ténébreux d’Arthur Fleck.

Les scénaristes nous présentent un homme fragile psychologiquement, souffrant en plus de cela d’un handicap, des indices préfigurant la trajectoire sanglante de ce méchant en devenir. Dans une atmosphère 70’s clairement inspirée de l’oeuvre de Scorsese, on pense énormément à La Valse Des Pantins, un effet renforcé par le traitement du monde du divertissement, l’intrigue nous met face à une inéluctable descente aux enfers et à la confrontation entre des mondes qui ne se comprennent pas, pour un résultat convaincant.

Les graines de la discorde et du chaos sont distillées tout du long du film, pour mieux mettre le feu aux poudres. Arthur Fleck et Gotham sont deux entités en mal être et des dérives de l’un va émerger la chute de l’autre. Au milieu de tout cela, Todd Phillips offre une critique de la société, qui se veut assez sombre mais au final peu subtil, le réalisateur/scénariste ne semblant pas savoir canaliser sa propre colère. Certes, quelques messages véhiculés peuvent être sujets à controverse selon la sensibilité de chacun mais au niveau du choc, l’intrigue aurait gagné à creuser davantage les démons qui rongent Gotham et amener plus de poids aux raisins de la colère plutôt que de basculer si rapidement dans cette poudrière.
Le malaise est donc de mise durant l’ensemble de long-métrage, dans le bon sens du terme entendons-le. Tout d’abord, rien qu’au niveau de la caractérisation d’Arthur, le chemin qui le mène vers la folie et la criminalité est parsemé d’éléments amenant à une certaine empathie pour le personnage, ce qui est déstabilisant mais dans la logique de la démarche voulue par l’équipe créative. La basculement d’Arthur vers le côté obscur est le fruit de plusieurs facteurs mais le point de non-retour est l’oeuvre de ce dernier.

Ce chemin vers la folie et la violence vaut avant tout pour la prestation de Joaquin Phoenix qui, comme à son habitude, est habité par le personnage qu’il incarne, s’investissant aussi bien psychologiquement que physiquement, allant à s’amaigrir pour donner une allure longiligne à Arthur, appuyant ainsi sur les troubles de ce dernier. Joker repose entièrement sur sa performance, qui est clairement le point positif du long-métrage. Électrisant et dérangeant à souhait, l’acteur réussit un exercice d’équilibriste,  tantôt sobre tantôt excentrique, ce qui aurait pu s’avérer grotesque en cas de sur-jeu. Ses camarades ne sont pas en reste, Robert De Niro et Frances Conroy en tête, réussissant à s’imposer et à tenir le cap face à Phoenix, avec de belles confrontations à la clé.

Privilégiant le drame, le réalisme et l’aspect solennel au grand spectacle, Joker a tout de même la bonne idée de ne pas renier son côté comics, avec des clins d’oeil plus ou moins subtils, qui vont de la carrière de comédien raté d’Arthur à la présence bien entendu de la famille Wayne, pour une relecture de cette mythologie DC qui aura de quoi amuser les connaisseurs.
Si l’on peut parfois reprocher une sur-utilisation de gimmicks, à savoir les pas de danse de notre clown, la réalisation de Todd Phillips agrémente Joker de cette aura lugubre avec la représentation d’un Gotham aux abois, sombrant vers son inexorable décadence, un effet de style renforcé par le très bon travail sur la photographique effectué par Lawrence Sher. En restant au plus près d’Arthur Fleck, la caméra laisse le champ-libre à Joaquin Phoenix pour exprimer les états-d’âmes de l’homme, nous happant par ce regard et ce rire glaçant. Cette atmosphère malsaine est décuplée par la bande originale composée par Hildur Guðnadóttir, achevant ce voyage vers l’anarchie.

S’il n’est pas le choc tant annoncé, Joker n’en reste pas moins un bonne surprise, faisant office d’ovni dans les super-productions actuelles. Cette descente aux enfers, synonyme de l’avènement de ce symbole du chaos qu’est le nemesis de Batman n’échappe pas à quelques facilités et un aspect politique qui aurait gagné à être mieux explicité mais la prestation hallucinée de Joaquin Phoenix ainsi que le ton dramatique adopté font que l’on suit de manière fébrile ce long-métrage, absorbé par cette plongée tumultueuse dans la folie.

[Bande annonce] Joker, du rire au drame

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Figure emblématique de l’univers Batman et nemesis de notre homme chauve-souris, Le Joker va être mis en lumière à travers une origin-story s’annonçant particulière dans l’univers DC Comics. Réalisé par Todd Phillips, qui change de registre en passant de la comédie au drame, Joker se démarque de l’Univers Cinématographique DC et se veut un film à part du DCEU, ce que confirme sa nouvelle bande annonce :

Prévu pour le 9 Octobre sur nos écrans, le long-métrage, écrit par Todd Phillips et Scott Silver intrigue. Produit par Martin Scorsese, Joker s’annonce sombre et surtout glauque avec l’histoire d’Arthur Fleck, un clown basculant d’artiste à criminel.

Après Cesar Romero, Jack Nicholson, Heath Ledger et Jared Leto, Joaquin Phoenix campe à son tour cet ennemi culte de l’écurie DC Comics. Sa prestation va à coup sûr être l’attraction principale du film, l’acteur se donnant toujours à fond dans ses rôles, ce que confirme ces nouvelles images. Ce dernier est en plus bien entouré avec Zazie Beetz ou encore de Robert De Niro pour lui donner la réplique.

La psychologie du Joker semble être fouillée et suivre le basculement d’Arthur Fleck de la lumière aux ténèbres s’annonce inquiétant. Prêts à entrer dans l’univers de Gotham et sa folie ambiante ?

 

Joaquin Phoenix inquiétant dans la bande annonce de Joker

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Le nemesis de l’homme chauve-souris est de retour au cinéma et cette fois il est la tête d’affiche. En effet, Warner Bros et DC Comics ont décidé de mettre en lumière les origines du plus obscur des clowns et se sont entourés du réalisateur Todd Phillips et de l’acteur Joaquin Phœnix pour porter à l’écran Joker, dont voici la première bande annonce :

Prévu pour le 9 Octobre, le long-métrage est un opus complètement à part de l’Univers Cinématographique DC, un one-shot qui n’a aucun lien avec ce qui a été établi depuis Man Of Steel.

Comme dans les comics, cela permet d’avoir de multiples versions d’un même personnage, répondant à une vision unique.

Produit par Martin Scorsese, Joker se centre sur la transformation d’Arthur Fleck en criminel, ce dernier se laissant envahir par la folie régnant à Gotham. Joaquin Phœnix, qui sur grand écran prend la suite de Cesar Romero, Jack Nicholson, Heath Ledger et Jared Leto, promet d’être inquiétant à souhait et son sourire va en faire frissonner plus d’un.

Que pensez-vous de ces premières images ?

[Concours] Gagnez vos places pour Don’t Worry, He Won’t Get Far On Foot de Gus Van Sant

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Le 4 Avril sortira sur nos écrans Don’t Worry, He Won’t Get Far On Foot, le nouveau film de Gus Van Sant avec au casting Joaquin Phoenix, Jonah Hill, Rooney Mara et Jack Black. À cette occasion, SeriesDeFilms, en partenariat avec Metropolitan Films et Mensch Agency, vous fait gagner 5×1 places pour aller voir le film au cinéma.

Synopsis :

Même après avoir failli mourir dans un accident de la route lors d’une nuit de beuverie avec son ami Dexter (Jack Black), John Callahan (Joaquin Phoenix) n’a pas la moindre intention d’arrêter de boire. Il finit pourtant par suivre une cure de désintoxication, soutenu par sa compagne (Rooney Mara) et un mentor charismatique (Jonah Hill), et se découvre alors un don inattendu… Il crée des dessins à l’humour noir, satirique et insolent, qui lui vaudront un succès international dès leur publication dans la presse. En dessinant, Callahan découvre une nouvelle manière de voir la vie…
Tiré d’une histoire vraie, ce film poignant, incisif et drôle sur la rédemption, le pardon et le pouvoir de guérison de l’art est adapté de l’autobiographie de John Callahan et réalisé par Gus Van Sant.

Réagissez avec #DontWorry
Plus d’infos sur la page officielle du film : https://www.facebook.com/dontworry.film/

Comment participer ?

Pour jouer, rien de plus simple, il suffit de répondre à la question posée et de laisser vos coordonnées.

Pour augmenter vos chances , vous pouvez suivre SeriesDeFilms sur Twitter et retweeter le concours ou/et aimer la page SeriesDeFilms sur Facebook et partager le post du concours ! Si vous le faites, n’oubliez pas de renseigner vos pseudos dans le questionnaire ci-dessous.

Le jeu-concours se termine le 8 Avril au soir, les gagnants seront avertis par mail et les places seront ensuite envoyées chez vous.

Concours réservé à la France métropolitaine. Une seule participation par personne, par adresse e-mail et par foyer est autorisée.

Bonne chance à tous ! 😀

Le concours est terminé ! Merci à tous d’avoir participé !