Depuis son arrivée dans l’univers du septième art, en 2007, Transformers a su devenir l’une des franchises les plus lucratives de Paramount Pictures, l’ensemble des longs-métrages produits en près de quinze […]
Depuis son arrivée dans l’univers du septième art, en 2007, Transformers a su devenir l’une des franchises les plus lucratives de Paramount Pictures, l’ensemble des longs-métrages produits en près de quinze ans ayant rapporté la coquette sommes 4,84 milliards de dollars de recettes au studio. Si depuis fin 2018 et la sortie de Bumblebee – le spin-off de Travis Knight – Autobots et Decepticons ont déserté les salles obscures, ces derniers peaufinent leur retour.
Si les producteurs ont longtemps tergiversé sur la direction à prendre sur la suite de la saga avec plusieurs trajectoires s’offrant à eux entre prolonger la série principale menée par Michael Bay, qui s’est terminée en demi-teinte avec Transformers : The Last Knight, creuser le sillon tracé par le préquel centré sur le célèbre bras-droit d’Optimus Prime ou partir sur de nouvelles bases, des choix ont finalement été fait. Avec le septième opus de la franchise, intitulé Transformers : Rise Of The Beasts, Paramount Pictures a confirmé sa volonté de se démarquer de l’ère Bay et d’opérer un soft- reboot en se concentrant sur la chronologie post-Bumblebee tout en proposant une bifurcation vers Transformers : Beast Wars, comme en témoigne les premières images du long-métrage.
Bande annonce #1
Bande annonce #2
Pour les néophytes, cette série animée des années 90, connue en France sous le titre Animutants, mettait à l’honneur les Maximals et les Predacons, robots venant également de Cybertron qui, à la différence des Autobots et Decepticons, se transforment en animaux à défaut de véhicules, ce qui s’explique par leur présence sur Terre durant la Préhistoire, à la suite d’un malencontreux voyage temporel.
Réalisé par Steven Caple Jr. (The Land, Creed II) et écrit par le tandem Darnell Metayer/Josh Peters – d’après une histoire de Joby Harold – Rise of the Beast nous plongera dans le Brooklyn de 1994, où nous suivrons Noah, un vétéran de l’armée (incarné par Anthony Ramos) qui va se voir associer à ce cher Optimus Prime, pour une collaboration qui sera l’occasion pour notre héros de se racheter aux yeux de ses proches. A leurs côtés, Elena (Dominique Fishback), une chercheuse spécialisée dans l’étude des artéfacts, interprétée par Dominique Fishback. Niveau robots, notre leader Autobot et ses co-équipiers Bumblebee, Mirage et Arcee feront équipe avec Optimus Primal, Air-Razor et Rhinox, des Maximals qui viendront leur prêter main forte afin de venir à bout des Terrorcons, une faction ennemie menée par le redoutable Scourge, qui prend un plaisir sadique à récolter les insignes de ces victimes comme trophée. Notons que dans les comics Transformers et les récentes séries, ce clan du mal est composé de Decepticons en mode zombies, revenus à la vie grâce au Dark Energon. A voir si cette idée sera conservée.
Quoiqu’il en soit, tous les éléments sont mis en place pour que Transformers reprenne du poil de la bête au cinéma, le virage opéré avec ce volet initiant un nouveau chapitre. Il n’y a plus qu’à observer si les fans répondront présents lors de la sortie de ce Rise of the Beast, attendu pour 7 juin en France.
Synopsis :
Transformers : Rise of the Beasts renoue avec l’action et le grand spectacle qui ont séduit des millions de spectateurs à travers le monde. Ce nouveau volet se déroule au cœur des années 90 et nous emmène aux quatre coins du globe. Une toute nouvelle faction de robots Transformers – les Maximals – se joindront aux Autobots dans l’éternelle bataille qu’ils livrent face aux Decepticons.