[Bande annonce] Peninsula, mission musclée en territoire zombie
Quatre ans après le succès critique et public de Dernier Train Pour Busan, qui avait totalisé près de 92,6M$ de recettes dans le monde, dont 80,4M$ provenant de la Corée […]
Pour ceux qui se font des films en séries
Quatre ans après le succès critique et public de Dernier Train Pour Busan, qui avait totalisé près de 92,6M$ de recettes dans le monde, dont 80,4M$ provenant de la Corée […]
Quatre ans après le succès critique et public de Dernier Train Pour Busan, qui avait totalisé près de 92,6M$ de recettes dans le monde, dont 80,4M$ provenant de la Corée du Sud, le réalisateur Yeon Sang-ho nous propulse de nouveau dans l’univers apocalyptique qu’il a mis en scène avec Peninsula, qui nous montre les conséquences, à plus grande échelle, de ce virus transformant la population en zombies, comme vous pouvez le constater dans la première bande annonce du long-métrage :
Après avoir joué avec la claustrophobie, bloquant nos personnages principaux dans un train bondé de morts-vivants, Yeon Sang-ho prend le contre-pied de son concept initial, pour nous plonger dans un chaos ambiant.
Prévu pour le 12 Août au cinéma (on croise les doigts pour que la date ne change pas…), Peninsula nous fera suivre un ancien soldat (interprété par Gang Dong-won), qui après être parvenu à s’extirper du charnier que représente désormais la Corée du Sud, va devoir repartir à Séoul pour une ultime mission, qui va se révéler angoissante et sanglante.
Les premières images du long-métrage promettent une suite à Dernier Train Pour Busan pour le moins musclée et un monde plus élargi, pour mieux souligner l’horreur de cette infection qui fait rage et qui semble être inexorable. La tension est palpable et la violence qui se dégage annoncent un deuxième opus plus oppressant, alors que le terrain de jeu est plus ouvert que jamais, contrairement à son prédécesseur. Entre l’armée, les zombies et les rescapés de cette pandémie, chaque camp va avoir fort à faire, pour un résultat qui va garantir quelques frissons aux spectateurs.