Alors que le mois de Mars vient de débuter sous un climat particulier, revenons le temps d’un article sur nos découvertes cinématographiques de Février dans ce nouveau numéro de la rubrique Coup de coeur/Déceptions.

En Janvier1917 de Sam Mendes était revenu en majorité dans vos critiques mais vous aviez également évoqué Star Wars : L’Ascension De Skywalker de J.J. Abrams, Underwater de William Eubank, Les Filles Du Docteur March de Greta Gerwig ou encore Play d’Anthony Marciano.

Quels seront les longs-métrages mis en avant ce mois-ci ? Quelles œuvres ont été marquantes ou  décevantes à vos yeux ? Découvrons vos avis sans plus attendre !

CoupDeCoeurDéception

Un film semble s’être démarqué en Février, revenant dans plusieurs de vos retours, à savoir Jojo Rabbit de Taika Waititi, qui a été une belle surprise pour bon nombre d’entre vous comme vous pourrez le constater en lisant les avis des personnes ayant participé à la rubrique.

Débutons avec Laure, qui est revenue sur les deux longs-métrages qu’elle a découvert ce mois-ci au cinéma :

Février a débuté avec un sacré coup de coeur, Jojo Rabbit alors que je n’en attendais rien de particulier, me contentant d’accompagner une amie qui avait très envie de le voir. J’ai été cueillie par cette ode à la tolérance cousue par Taika Waititi qui a su parfaitement doser satire, humour et émotion. Si je m’attendais à un délire, connaissant un peu la filmographie du réalisateur, une marque de fabrique présente en filigrane tout du long de l’intrigue en revanche il m’a prise par les sentiments à travers le parcours du jeune Jojo, dont l’endoctrinement et l’aveuglement se dissipe alors qu’il découvre la véritable horreur de la guerre, pour une oeuvre au final douce et amère. Une bien belle réussite !

Au contraire, Le Prince Oublié de Michel Hazanavicius rate le coche et passe à côté de son sujet, le passage à l’adolescence et la fin de l’innocence propre à l’enfance, en usant d’artifices en tout genre pour traiter de la relation père/fille au coeur du film. Ne sachant pas sur quel pied danser, le scénario navigue entre réel et imaginaire sauf que le monde en carton-pâtes et autres effets datés n’aident finalement pas à l’immersion voulue et l’émotion recherchée est absente car tout paraît factice, même la prestation des comédiens, Omar Sy en tête, se contentant du minimum. Dommage.

Joachim nous a quant à lui fait part des longs-métrages l’ayant agréablement surpris :

Deux coups de coeur au programme ce mois-ci, et Jojo Rabbit :

-Birds Of Prey : Après la débâcle qu’a été Suicide Squad, Cathy Yan propose finalement le spectacle que l’on était en droit d’attendre avec un long-métrage explosif et complètement délirant. Redorant le blason d’Harley Quinn, qui s’offre une émancipation bienvenue et loufoque, Birds Of Prey est tape à l’oeil, dans le bon sens du terme cette fois, le style clipesque de la réalisation et les digressions scénaristiques aidant à insuffler ce souffle de folie, propre à la psyché de Harley, qui est le centre et le coeur du film. Si les héroïnes qui l’accompagne sont mises en retrait, introduction oblige, la sororité qui nous est présentée est détonante et les coups pleuvent, pour un résultat plus que plaisant. Chapeau bas à Margot Robbie qui porte l’oeuvre sur ses épaules et qui s’éclate dans la peau de Quinn, de même que Ewan McGregor, irrésistible en criminel dandy qui sait se montrer excentrique mais surtout menaçant. 

-Jojo Rabbit : Taika Waititi se réapproprie le roman de Christine Leunens, Le Ciel En Cage et y appose sa folie douce pour un feel-good movie sur la perte d’innocence et les ravages du nazi qui fait mouche. Tantôt drôle tantôt émouvant, le réalisateur et scénariste trouve le ton juste pour traiter d’un sujet grave. La dure réalité de la guerre nous est exposée à travers la vision de l’enfance, sous le prisme de la satire, permettant de grossir le trait sur l’humour quand il s’agit de se moquer du nazisme et de leurs idéaux. C’est culotté mais bien joué, aussi bien du côté de l’écriture que de l’interprétation avec la découverte du jeune Roman Griffin Davis, de la sensibilité de Thomasin McKenzie et de Scarlett Johansson et Sam Rockwell, dans des seconds rôles savoureux. Une réussite à tous les niveaux. 

Ceciloule, du blog Pamolico, est revenue sur son coup de coeur et sa déception concernant les films vus en Février :

Déception : le dernier Eastwood, Le Cas Richard Jewell

En soit, je n’ai rien de probant à reprocher à ce film, mais il m’a manqué quelque chose. Les personnages m’ont énervée – des flics, détestables, aux journalistes fouilleurs de merde, en passant par la victime même de tout ce pandémonium, aucun n’a vraiment su se rendre attachant à mes yeux. Le seul qui échappe à cette indifférence teintée d’agacement, c’est Watson Bryant (Sam Rockwell, qui s’est aussi illustré dans Jojo Rabbit). Il apporte une touche d’humour au film, un peu de légèreté mais aussi de profondeur sachant que Richard Jewell ne semble pas vraiment touché par ce qui lui arrive, comme impuissant, ne parvenant pas à réaliser la position qui est la sienne. Watson a donc un rôle presque paternel envers lui. 

Sa critique complète du long-métrage à lire ici : https://pamolico.wordpress.com/2020/02/25/le-cas-richard-jewell-clint-eastwood/

Coup de coeur : Jojo Rabbit de Taika Waititi

En plus d’être d’une drôlerie insolente et touchante, ce film est également une ode à l’amitié. Le Führer y est tourné en ridicule, Taika Waititi le jouant « comme une version plus stupide de (lui)-même », donne à Jojo des conseils abracadabrantesques et se retrouve bien souvent dans des situations absurdes et embarrassantes. Coloré et loufoque, l’univers créé par le réalisateur donne une autre version des faits, amène de la douceur et une candeur enfantine là où il n’y a que douleur, faim et mort. La plupart des décors intérieurs a d’ailleurs été fabriqué, comme un pied de nez superbe, dans les studios Barrandov de Prague qui servit aux films de propagande réalisés dès le début de l’occupation nazie.

Sa critique à lire dans son intégralité sur ce lien : https://pamolico.wordpress.com/2020/02/14/jojo-rabbit-taika-waititi/

Fabien, du blog EscapeToCulture.net, est revenu sur les films vus, sur grand écran ou à la maison, durant ce mois.

COUPS DE COEUR :

-Scandale :

Je dois l’avouer : l’aspect docufiction m’a fait peur au départ, car ça parle, ça parle et… ça parle ! Ça m’a d’ailleurs rappelé le film The Big Short (que j’avais détesté, au passage). Je pensais donc que celui-ci serait interminable pour la même raison. Mais le réalisateur Jay Roach a su rendre son film palpitant à suivre de bout en bout, en mélangeant parfaitement les côtés informatif et fictionnel. Il parvient ainsi à nous faire (re)vivre le scandale qui a secoué la chaîne Fox News, de même que les élections américaines pré-Trump. On suit aussi avec entrain les péripéties des trois héroïnes, respectivement interprétées avec maestria par Charlize Theron, Nicole Kidman et Margot Robbie.

Selon moi, les trois actrices portent très bien ce parfum de scandale sur leurs solides épaules. Je suis le premier à être surpris, mais celle qui livre la plus belle performance de toutes est Margot Robbie. Même si l’histoire de son personnage est facile dans son dénouement, ce dernier est vraiment fort. Les moments qu’il passe en compagnie de Roger Ailes (excellent John Lithgow) sont à la fois glaçants et marquants. Mais Charlize Theron et Nicole Kidman ne sont pas en reste, tant leur charisme habituel transparaît à l’écran. J’ai été aussi surpris de retrouver Mark Moses (Paul Young dans Desperate Housewives) et Ashley Green (Alice Cullen dans Twilight) dans ce film. Tout ça pour dire que Jay Roach a su réunir un casting d’excellente facture, qui rend plus que jamais crédible cette intrigue politique et féministe.

Sa critique complète à lire par ici : https://www.escapetoculture.net/cinema-bombshell/

-Jojo Rabbit :

Ce film a réussi à me faire tantôt rire, tantôt pleurer, et ce, avec aisance et subtilité. J’ai même failli verser ma petite larme durant un passage clé du film. En tout cas, ce film aurait tellement mérité de rafler tout aux derniers Oscars (même si Parasite mérite ses quatre trophées).

Jojo Rabbit démarre et on sait déjà qu’on va assister à un beau spectacle burlesque, qui sait rire d’une époque où on riait très peu justement. Ce film aligne ainsi les scènes et répliques drôles avec une telle insolence que, personnellement, j’adore. Tous les acteurs n’y vont pas de main morte, de ce côté-là. Et puis, le long-métrage glisse aisément vers le drame et là aussi, l’émotion se fait bien sentir. Et là aussi, les acteurs se donnent à fond pour nous faire ressentir leurs moments de peine et de doute.

Critique à lire dans son entièreté via ce lien : https://escapetoculture42.wordpress.com/2020/02/23/film-jojo-rabbit/

-Marriage Story :

Dès les monologues d’ouverture, le ton est donné. On assiste au divorce douloureux d’une femme et d’un homme qui se sont aimés, puis qui vont se haïr crescendo. C’est d’ailleurs ce traitement progressif qui m’a surpris : la tension entre eux s’installe lentement, mais sûrement. On pouvait aussi se demander si Noah Baumbach allait apporter quelque chose de neuf à la thématique du divorce au cinéma. Certes, il n’y a rien de nouveau dans le dénouement, mais le réalisateur réussir à mettre en scène cette histoire avec beaucoup de justesse et de sensibilité. Il réussit aussi à rendre ses deux « antagonistes » aussi attachants que détestables, selon les scènes. Chacun a ainsi ses qualités et ses défauts, est prêt à tout pour avoir la garde exclusive de leur fils, même si on se doute un peu d’avance que c’est la femme qui va l’emporter. Par conséquent, il s’attache à les filmer tels qu’ils sont, sans jamais les épargner.

Le reste de sa critique à lire ici : https://escapetoculture42.wordpress.com/2020/02/26/film-marriage-story/

-Judy :

J’avais très envie de voir Judy de Rupert Goold, parce que Renée Zellweger a reçu toutes les récompenses inimaginables au monde pour son interprétation. Et quelle interprétation ! Cette fois, ce n’est pas Renée que j’ai vue, mais bien Judy Garland. Ce biopic est donc un magnifique hommage à la superstar déchue dès sa naissance qu’elle fut, en dressant un portrait d’elle peu reluisant, attachant pourtant.

Ce que j’ai trouvé intéressant dans ce biopic, même s’il est convenu comme beaucoup d’autres biopics américains, c’est qu’il tente d’expliquer pourquoi Frances Ethel Gumm est devenue Judy Garland. Le film s’ouvre sur le visage mélancolique de cette jeune fille, à qui l’on met déjà beaucoup de pression pour son jeune âge. Alors que elle, tout ce qu’elle veut, c’est de s’amuser comme toutes les adolescentes de son âge. Mais on lui en empêche. On ne veut pas qu’elle mange – je comprends pourquoi la plupart des actrices à Hollywood sont si minces -, on la drogue aux médicaments, on surveille ses moindres faits et gestes. D’où son malheur inévitable auquel on ne peut que compatir. De ce côté-là, Judy m’a beaucoup touché et la fin m’a d’ailleurs glacé le sang.

Critique complète à découvrir ici : https://escapetoculture42.wordpress.com/2020/02/21/film-judy/

-Les Traducteurs :

D’abord, je tiens à souligner la performance des acteurs. Tous interprètent à merveille leur rôle, bien que chacun incarne un stéréotype bien défini, voire exagéré (comme celui de la Suédoise, campée par Sidse Babett Knudsen). Deux acteurs se détachent cependant du lot : Lambert Wilson, qui joue l’enfoiré de première par excellence (plus détestable que lui, il n’y a pas) ; Alex Lawther, qui est clairement l’une des révélations de 2020 sur grand écran. Ces deux-là sont juste impeccables et se lancent dans un bras de fer à vous glacer le sang. Alors, certes, le personnage de Lambert Wilson est très manichéen dans son écriture et son évolution (il aime tellement l’argent et le pouvoir qu’il ne recule absolument devant rien, même pour rabaisser les autres), mais on ne peut pas lui enlever son talent.

Ensuite, le scénario est très bien écrit et construit. Néanmoins, on découvre très vite qui fait chanter Wilson à l’écran. Pour ma part, j’ai trouvé que le réalisateur avait opté pour la facilité, car le coupable était quand même assez évident à deviner. Sauf qu’il s’agit finalement du premier twist scénaristique qu’il nous a réservé. Car quand on commence à comprendre comment le maître chanteur a mis sa machination en place et, surtout, pourquoi il l’a fait, on s’y attend beaucoup moins. D’un côté, je pense que Régis Roinsard est allé à fond dans le surréalisme (parce que, mine de rien, la personne s’est montrée balèze pour faire ce qu’elle a fait). Ça m’a d’ailleurs rappelé le film d’enquête Knives Out, qui avait un peu le même scénario : on savait très vite ce qui s’était passé, mais le réalisateur n’avait pas encore dévoilé toutes ses cartes.

L’intégralité de la critique à lire via ce lien : https://www.escapetoculture.net/cinema-les-traducteurs/

SEMI-DÉCEPTION :

-Wasp Network :

Un film tourné majoritairement en langue espagnole, avec un casting hispanophone de luxe (Penélope Cruz, Édgar Ramírez, Gael García Bernal, Ana de Armas) et réalisé par un réalisateur que j’affectionne beaucoup (Olivier Assayas), je ne pouvais que dire oui ! Je suis donc allé voir Wasp Network (ou Cuban Network en VF) les yeux fermés, en m’attendant à une bonne surprise. Résultat : le film fait le job au niveau du contenu historique, mais se perd à cause d’un scénario brouillon et de personnages peu attachants.

Vingt-quatre heures après avoir vu ce film (au moment où j’écris cet article), je n’ai toujours pas compris l’histoire dans son ensemble (surtout la fin). C’est d’ailleurs là qu’on voit si un réalisateur réussit à trouver l’équilibre entre documentaire et récit fictionnel ou pas. Dans le cas d’Olivier Assayas, on sent bien qu’il a voulu rassembler un maximum d’informations pour faire un film de deux heures et quelques. Pour ça, il a du mérite, car il a bien su reconstituer le Cuba et les États-Unis des années 90.

Critique à lire ici dans son intégralité : https://www.escapetoculture.net/cinema-wasp-network/

La blogueuse SacriLedge, nous a également fait son passage en revue des films découverts ces dernières semaines :

Très petit mois de février pour ma part, en raison de weekends et soirées chargés donc je n’ai vu que 2 films : Nightmare Island et Sonic.

Ma déception va à Nightmare Island, qui était bien bien nul. On ne ressent aucune angoisse, les actions sont amenées à la va-vite et sans aucune surprise. Les acteurs font le job mais il est impossible de mettre en avant un réel jeu d’acteur ici, bien que certains soient tout de même notables. Franchement, j’ai quasiment pu entendre la salle soupirer à la fin du film tellement nous étions tous contents qu’il soit enfin fini.

Sonic m’a en revanche bien surprise. Je n’ai jamais joué aux jeux et j’en attendais bien moins que Détective Pikachu mais j’ai passé un bon moment. Même si le film cible les enfants certains gags font mouche pour tout le monde et des passages au visuel technique irréprochable (le ralenti dans le passage du bar) m’ont scotchée. La bande-son est plaisante également, bref j’ai passé un bon moment.

Thibaut nous fait part en quelques mots des longs-métrages qu’il a apprécié parmi ceux visionnés en Février :

Mes coups de cœur :
– « Lucky » avec Corinne Masiero, Daniel Prévost, Florence Foresti, Mickael Youn, Laura Laune et François Berléand notamment signé par le réalisateur de Dikkenek : les personnages sont truculents et l’histoire fait se croiser des personnalités hautes en couleur, de duos attendrissants et loufoques en passant par des déjantés sans scrupule , dans des petites combines où des alliances sont nécessaires pour que chacun arrive à ses fins avec un casting en or.
« Pour s’en sortir financièrement, Willy et son pote Tony, endettés de naissance, ont une idée de génie : voler un chien de la brigade des stups. Mais, les choses ne se passent pas tout à fait comme ils l’avaient prévu. La seule solution : s’associer avec Caro, une flic totalement corrompue. »

-« Mine de rien » avec Hélène Vincent, Rufus, Mélanie Bernier, Philippe Rebbot et Arnaud Ducret : une belle initiative du cinéma français portée par d’excellents comédiens.
« Dans une région qui fut le fleuron de l’industrie minière, deux chômeurs de longue durée, ont l’idée de construire un parc d’attraction « artisanal » sur une ancienne mine de charbon désaffectée. En sauvant la mine et sa mémoire, ils vont retrouver force et dignité. »

– « 10 jours sans maman » avec Aure Atika, Franck Dubosc et Helena Noguerra : une belle comédie grinçante et drôle qui met les points sur les I avec des personnages attachants qui rappelle que les femmes au foyer ont bien du mérite.
« Antoine, DRH d’une grande enseigne de bricolage, est en passe de devenir le numéro 1 de sa boîte. C’est le moment que choisit sa femme, Isabelle, pour faire une pause et prendre l’air quelques jours pour s’occuper d’elle. Antoine se retrouve alors seul à devoir gérer la maison et leur quatre enfants. Il est vite dépassé par les événements ! 10 jours sans maman qui risquent bien de faire capoter sa nomination. »

Enfin Syneha Litith, de l’association Three Movies Films, nous a partagé sa déception du mois, The Boy : La Malédiction De Brahms mais également son coup de coeur, qui est une série, I’m Not Okay With This :

I Am Not Okay With This (série Netflix) a été une vraie partie de plaisir pour moi ! Un vrai remake fun et cynique de Carrie au Bal du Diable en mini-série aux couleurs vives et à l’humour bien décalé : une ado pommée par le suicide de son père qui se retrouve en possession de pouvoirs télékinésiques. Découvrant des secrets sur sa famille en même temps qu’elle découvre sa sexualité, cette jeune adolescente va devoir contrôler sa puissance, tout en cherchant à se faire des ami.e.s. C’est un peu une série pour teen mais ça reste vachement sympa à regarder 🙂

The Boy II, une grande déception ! Le premier ayant été vraiment bien réalisé : l’on croyait avoir affaire à une poupée maudite pour finalement se rendre compte qu’un jeune homme vivait dans les murs ! Dans le deuxième opus, la poupée refait surface en étant réellement maudite et cela détruit l’originalité du premier film. Un film rempli de jump scare peu originaux qui n’ajoute rien à l’univers de ces œuvres. Une histoire tellement prévisible !


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